Le groupe « KORIAN » est également visé ! (et pour les mêmes raisons).
La population Française « vieillissante » est une « manne financière« , pour les arrivistes sans scrupule.
Les Holdings foisonnent et développent des résidences séniors, partout sur le territoire.
Elles bénéficient, de subventions de l’État, pour payer le personnel, qui … n’est pas toujours vraiment à la hauteur (lorsque il est présent) !
Elles sont dans un cadre juridique, « très flou » et sous « aucun contrôle » ?
Les séjours sont très couteux, pour des prestations à minima et discutables (au mieux).
MédiaChartres, appel de ses vœux, une rapide réglementation spécifique, concernant les « supermarchés du 3ème age« .
Patrick Maresko
(ci-dessous, une partie de la publication de notre confrère).
Sujet: Maltraitance en Ehpad : une indignation feinte et insuffisante !
PAR MATHILDE GOANEC de Médiapart: ARTICLE PUBLIÉ LE MERCREDI 26 JANVIER 2022
-Les pouvoirs publics font mine de découvrir que le puissant groupe Orpea se joue des règles dans ses Ehpad. Mais la maltraitance, les conditions de travail dégradées et la répression syndicale sont sur la table depuis des années, sans que jamais le système de financement ne soit remis en cause.
Que ne savaient-ils pas, au juste? Depuis mardi soir et
la sortie du livre « Les Fossoyeurs » de Victor Castanet sur les Ehpad et Orpea, le gouvernement pousse des cris d’orfraie et c’est l’affolement général au royaume de l’or gris. Le groupe Orpea dévisse en Bourse, son directeur général est convoqué manu militari par l’exécutif tandis que le ministre de la santé fait état, devant les parlementaires, de sa volonté de prendre ce sujet avec « gravité et une totale détermination ». Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, «révolté», a, lui, estimé qu’il était «hors de question que de tels agissements puissent être tolérés dans notre pays».
Mais si le livre de Victor Castanet sonne par l’ampleur de l’enquête menée, le nombre et l’importance des sources interrogées, la maltraitance et la politique du moindre coût dans certains établissements à but lucratif sont des secrets de Polichinelle, sur lesquels les autorités de santé ferment les yeux.
Et pour cause: après avoir abandonné tout un pan de la dépendance au privé, l’État se retrouve désormais dans l’impossibilité de taper du poing sur la table quand des dysfonctionnements sont mis au jour.
Le cas de l’Ehpad Bords-de-Seine de Neuilly, géré par Orpea, est la parfaite illustration de cette hypocrisie générale. Victor Castanet en dresse un tableau effrayant en ouverture de son livre. L’établissement, a déclaré le ministre de la santé devant l’Assemblée nationale mardi 25janvier, a fait l’objet «d’une inspection missionnée par l’agence régionale de santé en 2018 sur la base d’allégations moins graves […] donc probablement que l’ARS [agence régionale de santé – ndlr] n’avait pas connaissance des faits établis dans le livre». Mediapart a enquêté sur cet Ehpad il y a quatre ans
exactement et publié une longue enquête fin janvier2018. Nous racontions exactement les mêmes horreurs, derrière l’élégante vitrine: les draps
trempés d’urine ou d’excréments, ces personnes âgées qu’on laisse comme des enfants négligés des heures durant dans la même couche, ces résidents dénutris ou déshydratés qui, lorsqu’ils tombent la nuit, peuvent rester des heures au sol, faute de personnel. Notre journal a aussi documenté comment, par un drap bloquant la poignée, on enfermait les gens souffrant de démence dans leur chambre payée rubis sur l’ongle pour leur éviter de déambuler.
Mais pour l’ARS Île-de-France interrogée alors explicitement sur ces faits en 2018, tout allait très bien, madame la marquise. Toutes les
«réclamations» depuis 2016 avaient, selon l’agence, été «examinées»,plusieurs rencontres organisées entre la direction de l’établissement, l’ARS et le conseil départemental. L’établissement de Neuilly faisait même preuve depuis, nous assurait l’ARS, «d’une
attitude positive et constructive». On mesure aujourd’hui le résultat. Mediapart a également appris que le ministère du travail a retoqué le licenciement d’une déléguée
du personnel l’an dernier, exerçant comme aide soignante à l’Ehpad Bords-de-Seine, signe sans doute d’une parfaite harmonie sociale.
Depuis le début de la crise du Covid, à l’échelle du groupe, cinq droits d’alerte ont été déposés par la CGT et portés à la connaissance de l’inspection du travail.
Ce syndicat dénonce également depuis de longues années auprès des organismes de Sécurité sociale Cramif et Carsat le nombre anormal d’accidents du travail et de licenciements pour inaptitude. Un peu partout en France, devant les ARS, les salarié·es manifestent et «déballent»,rappelle Guillaume Gobet, délégué syndical CGT dOrpea. Sans parler des familles qui multiplient les courriers et trépignent devant l’incurie manifeste. Olivier Véran a également promis, mardi 26 janvier 2022, de diligenter si besoin une enquête approfondie sur les pratiques du groupe Orpea. Là encore, des pages et des pages d’archives sont disponibles, rien que dans notre journal, sur sa conduite et celles de ses concurrents.
Le ministre pourrait aussi se renseigner auprès de ses propres administrations de contrôle, si le gouvernement auquel il appartient et les précédents
ne les avaient pas peu à peu désarmées. Les dossiers de litiges concernant Orpea s’empilent dans les inspections du travail, mais ce service public est exsangue et peine de plus en plus à remplir ses missions.
Les ARS, bras armés du ministère en matière de santé dans les régions, ne sont pas plus offensives, et notamment dans leurs missions de contrôle de
l’utilisation des deniers puisque, on ne le répétera jamais assez, une bonne partie du business d’Orpea
(comme celui des non moins problématiques Korian
ou DomusVi) repose sur de l’argent public.
C’est l’affaire dans l’affaire, révélée par Mediapart La question dépasse bien largement le seul sujet Orpea. Les Ehpad perçoivent en effet chaque année une «enveloppe soins» de la part de l’assurance maladie et une autre au titre de la «dépendance» de la part des départements. Orpea, numéro un mondial des maisons de retraite, a reçu, en 2020350millions d’euros de la part de l’assurance maladie, seulement pour «l’enveloppe soins», d’après les chiffres de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA), transmis à Mediapart.
Si l’on en croit Victor Castanet, Orpea était prêt à payer très cher pour éviter que ces questions ne soient posées sur la place publique et arrachées aux seuls arbitrages des politiques et des cabinets. Dans son livre, notre confrère raconte qu’un «analyste financier […] proche du fondateur d’Orpea» aurait proposé d’acheter son silence: «Et s’il vous file 15millions d’euros ? Je dis ça comme ça. Ça peut être une solution.»
Source et texte (partiel): Mediapart, retrouvez l’intégralité du sujet dans les colonnes du quotidien.
Pour une fois, MédiaChartres relais un avis du quotidien local, portant sur une déclaration (1) du Président du TDC (Tribunal de commerce) de Chartres, et le partage.
Il est exacte, dommage et incompréhensible, que ce haut lieu chargé d’histoire, soit totalement laissé à l’abandon par les institutions (?)
(1)« Depuis ma prise de fonction, il y a donc maintenant deux ans, je tente de faire réparer le toit de ce beau bâtiment dont l’étanchéité a rendu l’âme, aggravée par les désordres d’un chantier mitoyen. Rien n’y fait, chaque forte pluie inonde les locaux du greffe qui sont dans un état déplorable. Les infiltrations dans les murs ont même atteint le réseau électrique et le font parfois disjoncter. Les peintures de la salle des pas perdus cloquent comme tout le monde a pu le voir, mais les services administratifs régionaux (SAR) restent inactifs et silencieux à nos réclamations. Les chefs d’entreprise que nous sommes ont, eux aussi, compris qu’à l’arrivée cela coûtera dix fois plus cher à remettre en état, mais nous ne savons plus quoi faire à ladite inertie administrative
François Robinet.
(source: Échos républicain).
MédiaChartres, espère que cette « supplique » sera entendue, quelle trouvera « audience » et que le Ministère de tutelle, fera preuve de … jugement (?)
Clara Hirch
Un « COUP DE BALAY » à Chartres !
Les Mairies peuvent désormais, avoir et gérer des sociétés (SEM – SPL et autres) les Conseillers municipaux sont devenus des chefs d’entreprises (promoteurs).
Mais, ceci est contraire à la loi.
MédiaChartresvous explique.
Avec des statuts de « promoteurs », les protagonistes sollicitent des permis de construire à … eux même (d’où, la naissance du conflit d’intérêt), il serait donc étonnant qu’ils se les refusent.
Question: comment être « Juge et partie » ? sujet pour une « QPC » (question prioritaire de constitutionnalité).
Les règles élémentaires de basses, sur le chantier « Noël Ballay/Famin » sont quasis inexistantes (ou douteuses): défaut d’affichage du permis de construire (de + de 3 ans ?) et de la prolongation (avec certification d’huissier), détérioration et exploitation abusive sans autorisation de l’espace Public, délit de favoritisme, absence de fouilles archéologique « sérieuses » dans un secteursauvegardé et sur un site protégé (destruction d’artéfacts) !
MédiaChartres, a rarement eu l’occasion de croiser des personnes talentueuses, intelligentes, altruistes, honnêtes et sincères dans leurs engagements politique (à quelques rares exceptions, comme le Député René Dozière)
Le « pantouflage » est donc partout, et Chartres n’échappe pas au « système« , qui consiste pour un Maire à s’adjoindre (souvent à prix d’or) les services (sous une forme facultative, ou une autre) de personnes, qui ont été en charge de postes importants, et qui seraient encore utiles, grâce à des réseaux (…) et Ami(es).
Des « pseudos conseillers » pour « le cas ou » ? (CQFD).
Après enquête, MédiaChartres à dénombré: un ancien Président de cour d’appel (toujours Magistrat honoraire), un ex-responsable national de Gendarmerie, des Sénateurs, quelques Ami (es) Député (es), un Procureur, et bien d’autres … toujours influents, et avec un bon carnet d’adresses !
Ce qui ne met absolument pas, « employeurs » et « employés » à l’abri de la vérité, de la justice et des Médias, les exemples sont légions.
Extrait: Ainsi, selon l’article 432-13 du code pénal relatif au délit de prise illégale d’intérêt.
« Est puni de trois ans d’emprisonnement et d’une amende de 200 000 €, dont le montant peut être porté au double du produit tiré de l’infraction, le fait, par une personne ayant été chargée, en tant que membre du Gouvernement, titulaire d’une fonction exécutive locale, fonctionnaire, militaire ou agent d’une administration publique, dans le cadre des fonctions qu’elle a effectivement exercées, soit d’assurer la surveillance ou le contrôle d’une entreprise privée, soit de conclure des contrats de toute nature avec une entreprise privée ou de formuler un avis sur de tels contrats, soit de proposer directement à l’autorité compétente des décisions relatives à des opérations réalisées par une entreprise privée ou de formuler un avis sur de telles décisions, de prendre ou de recevoir une participation par travail, conseil ou capitaux dans l’une de ces entreprises avant l’expiration d’un délai de trois ans suivant la cessation de ces fonctions. »
Alors, que MédiaChartres constate, que Madame le Préfet à officialisé un arrêté, rendant le port du masque obligatoire en extérieur, dans certaines zones urbaines … (ci-dessous)
« Un arrêté préfectoral a été publié en fin de journée : il impose le port du masque dans les communes et les zones les plus peuplées du département. Le préfet d’Eure-et-Loir Françoise Souliman, avait annoncé l’extension du port du masque vendredi dernier, c’est désormais officiel. » (source quotidien local)
« L’obligation du port du masque en extérieur suspendue dans les Yvelines. Le Conseil d’État avait jugé, mardi 11 janvier, que le port du masque en extérieur ne pouvait être imposé que sous certaines conditions. »
MédiaChartres, ayant les oreilles senssibles, a beaucoup de mal avec les « couacs » et les « canards« ,
Une symbiose dans une partition à l’unisson, serait la bienvenue et une très bonne chose.
Serge Maloude
Incompréhensible !
Voici le paradoxe, que MédiaChartres à relevé pour vous.
Il est donc, interdit (pour cause de covid et variants) de consommer debout dans les bars et restaurants, mais à l’opposé, il est obligatoire d’être …debout, pour assister à un match
De quoi y perdre son latin ?
« Le protocole va être ajusté : les spectateurs pourront assister aux matchs debout »
Moujib Kada
BIENTÔT ICI ?
Constat d’un « ras le bol » et d’un « manque de pot »radar anti-bruit
Il en sera bientôt terminé, du bruit généré par les « roulants » en Ville, mais cela concerne t’il également, les volants et autres sources, de nuisances sonore, bientôt un radar ?
Selon les informations de MédiaChartres, les « radars anti-bruit« , devraient prochainement, faire une apparition définitive dans toutes les Villes de France.
Les premiers contrevenants ont déjà été sanctionnés (après la période de test).
contravention de 4ème classe, comme prévu par l’article R318-3 du codede la route.
amende forfaitairede 135€, minorée à 90€ en cas de paiement dans les 15 jours.
article 92 de la loi n°2019-1428du 24 décembre 2019 d’orientation des mobilités.