Dépenses pharaoniques.

Ainsi, il suffit donc au Maire de Chartres, de claquer des doigts, pour avoir des interviews à la carte et publiés dans le « journal » local ?

Il nous dévoile SES projets, tous plus couteux, grandioses et fantasques.

MédiaChartres, étant savamment évité (et pour cause).

Ceci nous ramène, à une chanson de Michel Sardou, « Les lac du Connemara » et particulièrement à ce passage :

« Là-bas au Connemara
   On sait tout le prix du silence
   Là-bas au Connemara
   On dit que la vie
   C’est une folie
   Et que la folie
   Ça se danse »

Alors il est certain et indiscutable, que nous avons d’excellents danseurs  à Chartres !

Mais dans les pages de « petites annonces« , à aucun moment le Maire n’aborde, le FINANCEMENT

Question certainement très indiscrète, mais MédiaChartres aime la transparence (la vraie) ! Et ce qui nous intéresse, c’est le « cash-flow« , soit la capacité d’autofinancement d’une entreprise ou collectivité, correspondant au bénéfice après impôt augmenté des amortissements et réserves hors dettes (et là … les choses se compliquent !).

Et cette question légitime, tout le monde la pause. Sur le sujet, même le comptable M. Franck M.  y perd son latin, et il faudra beaucoup de persévérance et de temps, à la Cour des comptes et au prochain contrôle du PNF pour commencer à comprendre, et aussi beaucoup (peut-être même plus) d’années aux Chartrains, pour « éponger » le passif (actuel et … à venir) de la Ville, créé par M. le Maire et ses adjoints.

 

 

 

 

Alors : banques étrangères,  pierre philosophale (1), Euro million , trésors des Templiers ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

(1)La Pierre philosophale en alchimie est le moyen de réaliser une conversion : au contact des métaux « épais », elle les transforme  en or.

 

Le Week-end prochain, à l’occasion des journées du patrimoine et des portes ouvertes, aurons nous accès aux secrets et à des révélations fracassantes (ou pas) ?

Martine Leroy