PASSÉ …

MédiaChartres soutien, plus que jamais, le monde médical.
– Le Colisée en construction- ![]()

https://www.calameo.com/read/0000856835b8ab9bedda5
Dans le dernier N° #128 du magazine « Votre Agglo« , MédiaChartres à relevé, que la mairie, se glorifie de l’ouverture de Sa salle de spectacles « Le Colisée » et pour cela, compte sur la présence d’une gloire de la chanson Française … des sixties.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Michel_Polnareff

Mais, ne sera-t-il pas imprudent, en des temps difficiles, de risquer un budget loisir conséquent, pour aller (peut-être) vers une grosse déception (?)
Car, si il est l’interprète de quelques mémorables chansons, il n’en est pas de même pour celle-ci, à « consonances sexistes« , qui aurait provoqué (aujourd’hui) à sa sortie, un tollé dans les rangs du mouvement : #MeToo et de bien d’autres.
Et puis, il y a l’age (80 ans) de l’interprète, qui ne le favorise pas, dans ses concerts, et laisse même parfois, un goût amer au Public ! (de l’avis, de notre confrère France Info),
Sur les investissements totaux du complexe (non dévoilés), plusieurs millions d’euros […] chacun ne, était en droits de s’attendre (au minimum) à la venue, d’une vedette de classe internationale.
Le raisonnement des exploitants tes n’est pas réellement cohérent, avec le choix de l’artiste (?)
Pour info, MédiaChartres est au regret d’apprendre à ces derniers es, que : Maurice Chevalier, Tino Rossi et Charles Trenet, ne sont plus de ce monde, désolé !
Moujib Kada
Anecdote : – Michel Polnareff a lui-même proposé à Johnny Hallyday de jouer avec lui sur scène, sans rémunération, simplement pour le plaisir. De cette collaboration il dira : « Cela me plaisait de jouer avec lui. Johnny a été le seul, avant moi, à tenter de renouveler le tour de chant traditionnel. Depuis, presque tout le monde semble avoir compris qu’un chanteur derrière un micro, c’est du passé !
Comme publié en date du 17/02/2024 par le quotidien local (page 4),
Une société locale « publique« . . . Vraiment ? Une interrogation justifiée par tout ce qui a transité (passé/en cours/où en projet) dans la plus stricte intimité de « l’entre soit » du maire et de certains adjoints tes… les comptes, étant soigneusement dissimulé à la lecture des administrés es (ceci expliquant peut-être cela). JAMAIS, les protagonistes n’ont cherché à connaître l’opinion des principaux intéressés, (les résidents es),
Pour la cour d’appel de Versailles, il ne fait aucun doute, sur les malversations volontaires et le système de rachat des parcelles et biens immobiliers, dans le but de développer le projet de la mairie. Sous estimation de valeur/préemption tardive/détournement de pouvoir/obstacle au droit de délaissement/ abus d’autorité, etc.
Même si la ville et la SPL (Chartres aménagement) formule un pourvoi en Conseil d’État, cette instance, est libre de recevoir et instruire (ou refuser) les dossiers qui lui sont présentés, « procédure préalable d’audition ».




MédiaChartres,

Pour les centrales à béton, c’est le « jackpot » du sur-mesure 24/24h.
En conclusion, le bonheur se trouve-t-il dans le pré, ou le béton ?



Les centres-villes meurent les uns après les autres, sur le territoire Français. Les raisons sont multiples (mais étaient prévisibles), depuis les années 70’s les Hypers marchés n’ont cessé de réduire l’attractivité du commerce de proximité (centre-ville). La réduction du stationnement de surface et les prix prohibitifs des parkings, le prix exorbitant des loyers, impôts et taxes, tout ce qui a contribué à l’accélération d’une disparition inéluctable.
Le pouvoir d’achat et l’inflation, ont presque achevé le processus de la désertification des « cœur de ville« , que les pouvoirs publics tentent en vain, malgré des sommes exorbitantes (subventions) de maintenir à flot.
Reconversion difficile, même pour les grands centres commerciaux qui doivent en permanence se réinventer sous peine de disparition. Les drives, le I commerce, les discounteurs, sont autant de difficultés à surmonter pour maintenir une fréquentation suffisante à la survie.

Dans le centre-ville de Chartres, l’hécatombe s’amplifie et les fermetures s’enchainent à un rythme effréné. Les magazines diffusés par la mairie ou l’agglo, soutenu par la Presse locale, essaient, à grands renforts de communications, de faire comme si les épisodes du feuilleton « Plus belle la vie, encore », étaient tous réalisés à Chartres.
Pour « faciliter » (…) l’installation des nouveaux commerces, la mairie subventionne une association et lui a même offert une vitrine, surface commerciale dont le montant du loyer et le bail, restent des secrets bien gardés ?
Commerce difficile en voie de disparition […], les boutiques « éphémères » fleurissent partout, le « Turnover » s’amplifie, les galeries marchandes se désertifient, bref… il faut avoir beaucoup de courage, pour ouvrir un commerce aujourd’hui.