LA GUERRE, DES « TROIS »…

 

 

MédiaChartres soutien, plus que jamais, le monde médical.

 

Dans ce soit disant « monde civilisé » MédiaChartres retient surtout les dérives qui s’accentuent et font quotidiennement l’actualité et la une des Médias.

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/eure-et-loir-une-m%C3%A8re-et-son-fils-victimes-dune-attaque-au-couteau-le-suspect-hospitalis%C3%A9/ar-AA1z2Wh4?ocid=BingNewsSerp

Les nombreux conflits : Ukraine, Palestine, Congo, Liban, etc. La population qui ne croie plus en sa sécurité, agressions et assassinats en net progression. Les politiques qui se livrent des combats fratricides dans les arènes des ambitions personnelles (entre deux gros mensonges).  Le pouvoir d’achat, budjet d’austérité sans précédent voté à l’assemblée nationale, validé et renforcé par le Sénat, l’emploi, la crise financière, la guerre commerciale qui menace avec les Etats Unis, en bref, l’anxiété du futur ou la vie au quotidien. Et ce ne sont pas les fulgurants (et inqiétants) progrès de l’IA (intelligence artificielle) qui vont calmer le stress (bien au contraire). La bonne nouvelle, c’est que la France, après avoir fait « les fonds de tiroirs » à retrouvé 100 M€ (milliards d’euros) pour financer en urgence, l’avancement du développement de l’IA (?). La course est bien lancée, pour la domination (des restes) du Monde de demain.

https://www.bing.com/videos/riverview/relatedvideo?q=chanson%2c+The+end+of+the+Woord&mid=53C176715CB52CAD827E53C176715CB52CAD827E&FORM=VIRE

À Chartres (28000), le maire/président d’agglomération, nous dévoile dans le N° #248 du magazine « Votre Ville » n’avoir que 3 (trois) priorités, le reste ne le concerne pas (?) (où peut-être, juste sa longue réflexion (dilemme), sur le fait d’adhérer (où pas) au parti LR (pour plaire et faire comme les « copains« ). https://www.lechorepublicain.fr/chartres-28000/actualites/en-eure-et-loir-qui-sont-les-tenors-politiques-qui-soutiennent-la-candidature-de-bruno-retailleau-a-la-presidence-des-republicains_14640539/

Des priorités très largement détaillées, en pages : 6 à 9, vision apocalyptique de la ville !

https://www.chartres.fr/fileadmin/user_upload/votre-ville/2025/votre-ville-248-janvier-magazine-chartres-ville.pdf

 

À commencer par la N° 1, » le jardin de l’évêché« , resté des années en décrépitudes, qui subitement et contre toute attente, à l’attention et les faveurs du maire, qui se doit, rappelons-le, de tenir ses engagements à l’égard des sociétés de BTP, partenaires de la ville et de l’agglomération ! (fournir des chantiers), comme la construction d’un parking PAYANT sous le jardin […]

 

Construire également un nouveau parking, entièrement… PAYANT en lieu et place de l’actuel centre de recrutement de l’armée, et l’un des fiefs (pour le moment) de la Société Eiffage (place Saint Pierres), mis à disposition de cette derniere, gracieusement par la mairie, en supprimant aux élèves, le square du lycée Marceau, et au plus grand mépris du code de la route et interdictions locales. Les « phantasmes » de l’édile, passent encore avant le bien-être des enfants et adolescents (question, d’habitudes à Chartres) !

 

 

 

AVANT :

 

 

 

 

 

APRÈS :

 

 

Après cette promotion GRATUITE, pour les « projets de la ville » (et personnels), MédiaChartres va continuer ses investigations.

Sylvie Muller

 

 

 

 




MENSONGES/RÉALITÉ !

 

 

MédiaChartres soutien, plus que jamais, le monde médical.

 

Alors qu’un énième premier ministre, se réjouit d’avoir fait passer le budget de fonctionnement 2025, pour la France (?) MédiaChartres médite encore, sur ce tour de « passe-passe » réalisé avec, et grâce à des compromis […] et des promesses à tour de bras.

enfumage !

 

 

 

Une première étape dans le futur grand plan d’austérité, qui se profile à l’horizon.

Une question subsiste, comment en sommes nous arrivé là, et une deuxième (plus intéressante), ou est passé l’argent ?

MédiaChartres apporte des réponses, pour comprendre !

Et pour mieux assimiler, regardez, et SURTOUT écoutez attentivement, Analyses et témoignages :

https://www.youtube.com/watch?v=hcKZ6lXvy-I

Pour les septiques ou adeptes de la « théorie du complot », un petit retour sur une page de notre histoire. Et les similitudes incontestables et glaciales, avec le présent (et l’avenir, proche).

 – Face au spectacle dramatique de la dette publique, tout se passe comme si ce problème, parce qu’il est d’actualité serait inédit. A tel point que les solutions proposées à longueur de discours – moins de dépenses et/ou plus de recettes – paraissent novatrices et évidentes.

Or quiconque s’intéresse à l’Histoire ne peut qu’être stupéfait par la similarité des discours d’aujourd’hui et d’hier, en particulier si l’on étudie la dette de la Première guerre mondiale.

D’emblée, il ne s’agit pas de céder à la facilité de dire que l’Histoire se répète (quoique). Ce sont les acteurs de l’Etat qui se répètent. Utilisant les mêmes concepts, ils proposent les mêmes solutions. Seulement, ces mêmes solutions ont conduit à transformer la comédie de la dette publique des années 20 en tragédie des démocraties des années 30.

Après la guerre, la dette publique intérieure est de 178 milliards de francs pour un budget normal de 5 milliards de francs en 1914. Le Gouverneur de la Banque de France pose le problème dans des termes qui n’ont depuis pas varié : « Le retour à [l’] équilibre a pour condition première le remboursement de la dette de l’Etat, remboursement qui dépend lui-même et d’une stricte économie dans les dépenses publiques et de l’effort du pays pour fournir au Trésor des ressources suffisantes ». Partant, le Bloc national peut se faire élire en 1920 avec pour programme « Assainissement des finances publiques, lutte contre le gaspillage, limitation de l’initiative parlementaire en matière de dépenses, simplification des rouages, suppression des emplois inutiles ». La comédie de la dette publique peut commencer.

Lorsqu’il est question de dépenses, « il y a trop de fonctionnaires » (E. Brousse, ch. des députés, 14/12/21). Un sénateur dit : « une politique qui tend à réaliser dans les services publics les économies nécessaires je l’appellerai une politique de réformes. » (20/05/20).

Concernant les impôts : « le système fiscal doit être fonction du système économique. Vouloir faire l’inverse, c’est compromettre le développement du pays, c’est arrêter dans leur essor toutes les initiatives de production » écrit un ministre des finances.

La dette est telle que le Bloc national ne parvient pas à régler le problème. Lorsque la dette occupe la moitié du budget de l’Etat, la réduction des dépenses pour la soutenir impliquerait un hara-kiri étatique. Pour autant, la comédie de la dette mène à une crise de la vie chère qui permettra à la Gauche conduite par Herriot de se faire élire.

Par souci de crédibilité, la Gauche ne remet pas en cause le texte de la comédie qui s’est jouée depuis 1920. Herriot dit « il nous faudra inspirer la confiance, montrer que nous en sommes dignes, montrer que des hommes comme nous, des républicains de gauche sont de bons administrateurs, nous devrons appliquer les principes sans lesquels il n’y a pas d’Etat solide, et, en particulier, le principe de l’équilibre budgétaire ».

Et la comédie pourra se rejouer en dépit de l’alternance politique : « « Nous voici engagés dans un débat dont dépend l’avenir des finances françaises » (28/01/26) « Pour qu’[un patron] ait cette confiance, il ne faut pas le décourager par des impôts excessifs ». (30/01/26).

Là encore, la dette est telle que l’issue de la comédie ne peut mathématiquement pas être résolue par la réduction des dépenses ou l’augmentation des impôts. Mais au lieu de remettre en question les solutions classiques, les acteurs doutent de l’institution parlementaire. Si le Parlement n’arrive pas à  résoudre le problème de la dette, le problème c’est le Parlement. Un comité de spécialistes propose ce que l’un deux nomme lui-même une « dictature financière » (E. Moreau).

Poincaré finira par obtenir les pleins pouvoirs en matière financière en 1926. Il signera plus de 80 décrets en moins de 4 mois. On peut sourire de certains : « La situation financière commande, dans tous les domaines, les plus rigoureuses économies. Or, les brigades de gendarmerie à cheval sont d’un entretien coûteux et, dans beaucoup de cas, le gendarme à bicyclette peut remplacer sans inconvénient, le gendarme à cheval » (17/09/26). D’autres sont saisissants tant ils transforment le rôle économique de l’Etat. Le sous-préfet doit ainsi devenir un « animateur » pour faire « l’inventaire nécessaire des ressources économiques » en « promouvant l’organisation et la création des industries » (10/09/26).

Ces mesures ne suffiront encore pas, pour les mêmes raisons. Mais au passage, l’institution parlementaire, et à travers elle la démocratie représentative en est ressortie singulièrement affaiblie.

Malgré l’autoritarisme des décrets, Poincaré ne résout pas le problème avec les méthodes qui avaient été appliquées aveuglement depuis 1920. Ce n’est qu’au bord du gouffre monétaire qu’il finit par accepter que la dette ne pourra pas être payée. Par la loi du 25 juin 1928, 80% de la dette est effacée en divisant la valeur du franc par 5. C’est le miracle Poincaré.

Malgré cette issue, les dix années du joug de la dette avaient tant acculé la société française dans la vie chère et remis en cause les cadres démocratiques au nom des nécessités économiques, que les années 30 pouvaient commencer.

Une courte leçon en forme de souvenir s’impose : les pleins pouvoirs ont d’abord été accordés en France pour des raisons budgétaires. La crise de la dette publique des années 20 a préparé la crise de la démocratie des années 30, en plongeant l’Europe dans l’abime des années 40.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Responsabilit%C3%A9_de_la_France_dans_la_Grande_D%C3%A9pression

 

 

 

Pour aller plus loin : (pour les plus septiques).

En DVD :

Question de MédiaChartres.

Allons nous revivre, un siècle plus tard, le même épisode (genre, film « Un jour sans fin » ) ?

 – La politique c’est comme la mode, un éternel recommencement, rien ne change vraiment –

Martine Leroy




INONDATION (S)

 

 

MédiaChartres soutien, plus que jamais, le monde médical.

 

 

Le précédent article de MédiaChartres, avait-il des relents de prémonitions ?

https://mediachartres.fr/2025/01/27/armageddon/

Dans le monde d’aujourd’hui, dominé par une actualité « blues« , « ensauvagement de la jeune génération, déserts médicaux, individualisme chronique de la population, justice/police en pleine déconfiture, politiciens à la ramasse, etc »

Le climat du « bien vivre » se délite au quotidien de plus en plus vite, certains évitent d’en faire « écho » (?)

Le climat, c’est aussi celui du temps, des intempéries à répétitions qui bouleversent la vie de milliers de personnes.

https://www.leparisien.fr/faits-divers/eboulement-en-savoie-1-500-naufrages-de-la-route-heberges-cette-nuit-lacces-aux-stations-de-ski-encore-complique-02-02-2025-QAS4YZ5JCVCYVCSHCAS7UWV5FU.php

https://actu.fr/planete/climat/crues-historiques-pourquoi-ces-inondations-records-en-france-sont-liees-au-changement-climatique_62181129.html

Dans l’agglomération de Chartres, elles sont bien réelles et visibles:

MédiaChartres

 

 

 

 

 

 

Les pouvoirs publics se disent impuissants, il existe pourtant de possibles solutions :

https://www.mediapart.fr/journal/ecologie/280125/eric-daniel-lacombe-urbaniste-n-arrete-pas-une-inondation-s-y-adapte?utm_source=quotidienne-20250128-190913&utm_medium=email&utm_campaign=QUOTIDIENNE&utm_content=&utm_term=&xtor=EREC-83-[QUOTIDIENNE]-quotidienne-20250128-190913&M_BT=1654172231343

https://www.francebleu.fr/infos/environnement/crues-il-faut-apprendre-a-vivre-avec-l-inondation-souligne-un-architecte-et-urbaniste-7493990

Le coût de la vie depuis le 1er février : https://actu.fr/economie/tabac-epargne-prix-de-l-electricite-autoroutes-tout-ce-qui-change-au-1er-fevrier-2025_62163569.html

Les licenciements à venir, la Banque de France estime par ailleurs que 143 000 emplois pourraient disparaître en 2025, principalement dans les secteurs industriels et les services à faible valeur ajoutée.

https://www.economiematin.fr/chomage-augmentation-emploi-france-crise-2025

Local : https://www.lechorepublicain.fr/luce-28110/economie/34-emplois-menaces-par-le-projet-de-fermeture-d-un-site-industriel-d-hydro-a-luce_14632765/

Enfants en danger : l’État rappelé à l’ordre par le Défenseur des droits : du 29/01/2025

 https://www.defenseurdesdroits.fr/protection-de-lenfance-808

https://www.mediapart.fr/journal/france/290125/enfants-en-danger-l-etat-rappele-l-ordre-par-le-defenseur-des-droits?utm_source=quotidienne-20250129-200606&utm_medium=email&utm_campaign=QUOTIDIENNE&utm_content=&utm_term=&xtor=EREC-83-[QUOTIDIENNE]-quotidienne-20250129-200606&M_BT=1654172231343

Une où deux petites (et dernières) « bonnes nouvelles », pour la route… et celles-ci -ci sont de taille !

https://actu.fr/sciences-technologie/un-asteroide-gros-comme-un-terrain-de-foot-pourrait-frapper-la-terre-pourquoi-2024-yr4-inquiete_62181487.html

https://actu.fr/monde/horloge-de-l-apocalypse-avec-donald-trump-l-humanite-n-a-jamais-ete-aussi-pres-de-la-catastrophe_62179957.html

Dans la course à la gouvernance du monde, l’IA est largement en tête, et la guerre fait rage, faisant des perdants (pour 600 Md- milliards de dollars- en une seule journée), la suite promet d’être « spectaculaire« : 

https://www.abcbourse.com/marches/nvidia%E2%80%AF-un-crash-boursier-historique-a-cause-de-deepseek_654679

Après ce flot d’informations, MédiaChartres maintient le cap, sur la vision de l’avenir du monde, de Chartres et de l’agglomération.

 

Noël Lechable