POUCE D’OR 2025

 

 

MédiaChartres soutien, plus que jamais, le monde médical. 

 

Retour de la saison de l’attribution des prix et récompenses, MédiaChartres n’échappe pas au phénomène.

Fait rarissime… pour la première fois, le prix du « Pouce d’or » à été décerné à l’humanité par le jury, à une représentation nationale, « la justice« , et en particulier pour les actions de certains des ses représentants auprès du TGI (Tribunal de grande instance) de la ville de Chartres (28000). Juges : aux affaires familiales/ pénales/ Avocats/ Procureurs (…)

 

L’année 2024 a amené MédiaChartres à enquêter sur de nombreuses affaires. Toutes ont un point commun « les verdicts« .

Sur les affaires familiales (les plus nombreuses) les incohérences dans le traitement des dossiers (selon l’avis d’experts), ne laissent aucune place au doute. Malgré les preuves irréfutables de la défense, les Juges condamnent des plaignants-es aux bénéfices des accusés (?) – Cit : L’ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit. Aristote

Concernant le Pénal, ce qui à le plus attiré notre attention en 2024, demeure « l’affaire » du référent de l’association Anticor. Pour : la gestion/ la rapidité/ un dossier édulcoré de ses pièces essentielles/ la forme inclusive et douteuse de l’instruction/ le jugement et les manifestes  « égarements » complices, avec la façon dont ce dossier à été clôturé Trés rapidement […]

La justice focalise actuellement et particulièrement l’attention des Français, à la lectures des nombreux et récurents « faits divers » qui illustrent malheureusement, le quotidien de la vie d’aujourd’hui.

MédiaChartres, n’ignore rien des problèmes de l’institution judiciaire Française, manque de moyens, d’effectifs, etc, mais en ce qui concerne Chartres, cela n’explique pas tout, des questions restent en suspens !

Hasard du calendrier, le multiplex cinéma de Chartres « Les enfants du Paradis » lance la 4éme édition du film judiciaire, avec pour fil d’ariane, le long métrage réalisé par le commédien Yvan Attal, titre : « Les choses humaines » (voir la bande annonce) ICI : https://www.youtube.com/watch?v=-GsG-xPDV7c

Jusqu’au 30 mai, des intervenants du monde judiciaire, animeront des débats sur scène et sur le thème actuel, « les viols, face à la justice« , MédiaChartres  n’a pas été convié  (simple oublie ?).

Nous aurions profité de cette occasion, pour souligner d’autres films sur le triste sujet : comme celui-ci (admirable et révélateur), à voir absolument en entier ICI https://www.arte.tv/fr/videos/109097-000-A/la-fille-qu-on-appelle/

Il résume à lui seul, comment le pouvoir et l’argent, peuvent peser sur la « justice » et la rendre insoutenable pour les victimes.

Un sujet qui ne voit pas le bout de son tunnel, souvenez-vous :  https://www.francetvinfo.fr/monde/usa/comment-un-viol-a-l-universite-de-stanford-est-devenu-une-affaire-nationale-auxetats-unis_1493009.html

Un véritable chemin de croix pour les justiciables, qui est bien souvent trop long, exemples du moment : https://www.tf1info.fr/justice-faits-divers/chronologie-affaire-betharram-francois-bayrou-retour-sur-plus-de-50-ans-de-silences-et-de-non-dits-2351258.html

où encore : https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_des_viols_de_Mazan

et dans notre rétro : https://www.facebook.com/watch/?v=1677543592832035

 

MédiaChartres, (à méditer).

                      (CQFD)

 

 

Martine Leroy

 

 




AU NORD, C’ÉTAIT…

 

 

MédiaChartres soutien, plus que jamais

 

 

Le titre « Au Nord, c’était… » fait de suite penser à une chanson de Pierre Bachet, (décédé il y a juste 20 ans), et qui à laissé un inoubliable hymne au club de foot de Lenshttps://www.bing.com/videos/riverview/relatedvideo?q=au+nord+c%27%c3%a9tait+les+corons&&mid=FC43517A20C164A033FBFC43517A20C164A033FB&FORM=VAMGZC

Pour MédiaChartres, il est certain que cette chanson ne fait pas l’unanimité auprès de Jean-Pierre Gorges (maire de Chartres et président d’agglomération), et ceci, pour plusieur raisons ! En premier lieu, « le Nom » qui évoque chez lui une réaction épidermique (éruptions cutanées) et aigreurs d’estomac […] (ndlr)

 

 

 

 

 

 

 

 

*Et puis, il y a l’éternel projet du maire de refondre en totalité, le plateau Nord-Est (PNE) de la ville. Un projet extrêmement compliqué, qui a déjà fait l’objet de nombreux procès et déconvenues au fil du temps,, comme se plait à le rappeler le quotidien local en date du 15/02 (page 6). Ce dernier, minimise le nouveau « revers » prononcé récemment par la cour administrative de Versailles, « Nouvelle contrainte… » ?, mais qui laisse supposer, que rien n’est impossible, fasse à l’entêtement du maire, qui vient (encore) de déposer une nouvelle plainte (une de plus à son crédit), entièrement financé avec l’argent du contribuable, « dans le cadre de la loi… », vraiment ?  MédiaChartres à cherché à en savoir plus. Que révèle la loi sur le sujet :

 https://www.collectivites-locales.gouv.fr/institutions/responsabilite-et-protection-des-elus-locaux#:~:text=Ce%20dispositif%20r%C3%A9pond%20%C3%A0%20trois%20types%20de%20situation,est%20contr%C3%B4l%C3%A9e%20par%20la%20chambre%20r%C3%A9gionale%20des%20comptes.

Des maires ont, par le passé, été obligés de rembourser « les frais de protections« , la justice ayant estimée qu’ils n’entrait pas dans le cadre réglementaire d’attribution ! : https://www.lanouvellerepublique.fr/maine-et-loire/le-maire-de-cholet-prive-de-protection-fonctionnelle-par-la-justice-il-devra-rembourser-1739207512

PLUS : Le quotidien local, pour sa part, réalise une bonne opération en début d’année, avec successivement deux pages complètes de publicités pour la piscine de Chartres « L’Odyssée » les samedis : 11/01/ (page 8) et 04/01 (page 8), faut-il y voir une relation (?)

L’agglomération n’est pas en reste, avec la publication , d’un « Best OF »  2001/2025 du magasine VotreAgglo #138, intitulé « métamorrphose »

https://www.chartres-metropole.fr/lagglo/votre-agglo/detail/votre-agglo-hors-serie-138-fevrier-2025

196 pages entièrement consacré aux « bienfaits » (…) des interventions et idées géniales, (pour majeure partie), venant des ambitions du président de Chartres métropole. 300 grammes -information /propagande-, qui anticipent les futures élections municipales de 2016 (toujours aux frais du contribuable) Exemple du coût de revient : maquette (photocomposition), mise en page, imprimerie, livraison, distribution… soit (hypothèse basse) tirage annoncé à 78 200 exemplaires x par 3 € = 234 600 + frais divers (énoncés ci-dessus) moyenne de 2 euros par N° = 156 400 €, pour un prix globale de 391 000 € (X 2 -Votre Agglo/Votre Ville- soit un total de… 782 000€) pour terminer comme çà (photos ci-dessous), avant la poubelle !

 

 

Idem, pour le N° spécial de « Votre Ville« 

#249 (196 pages)

https://www.chartres.fr/fileadmin/user_upload/votre-ville/2025/votre-ville-249-fevrier-hors-serie-magazine-chartres.pdf

 

 

 

  F. G.

    et

   Ph. L

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

    # GABEGIE !

 

 

 

Apologie des réalisations, mais aucune allusion aux promesses non tenues : reprise des appartements au dessus des commerces, transformés en résereves/reconstruction de la porte Guillaume/ remise en état des rues du centre ville//etc.

 

 

 

 

 

 

Également : abattage d’arbres  tout azimut (le seul vert visible près de la Cathédrale, est désormais, celui posé sur les tables des restaurants)/ la bétonisation à outrance de la ville/ un « endettement métrisé » ? voté par des personnes qui, pour la plupart, ne résident pas en ville/ les perpétuels chantiers/ une circulation rendue presque impossible/ fermeture du centre de loisir « le Rigeard« / la multiplication des satellites, sans jamais divulguer les Noms des dirigeants et les résultats financiers (données publiques)/ l’absence du reconditionnement complet du musé/ fermeture et non sécurisation, du jardin de l’évêché/ suppression de la presque totalité des parkings de surface, au profit du privé/construction d’une mairie à la taille et goût de l’édile/ non respect de la loi ZAN/ une multitude de privilèges accordé à un cercle d’amis-es et proches (Famille)/ etc https://fr.wikipedia.org/wiki/Privil%C3%A8ge

 

« Ne pas avoir de limite, ne pas sentir le vent tourner et les ennuis arriver »

 

 Moujib Kada

 




LA GUERRE, DES « TROIS »…

 

 

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Dans ce soit disant « monde civilisé » MédiaChartres retient surtout les dérives qui s’accentuent et font quotidiennement l’actualité et la une des Médias.

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/france/eure-et-loir-une-m%C3%A8re-et-son-fils-victimes-dune-attaque-au-couteau-le-suspect-hospitalis%C3%A9/ar-AA1z2Wh4?ocid=BingNewsSerp

Les nombreux conflits : Ukraine, Palestine, Congo, Liban, etc. La population qui ne croie plus en sa sécurité, agressions et assassinats en net progression. Les politiques qui se livrent des combats fratricides dans les arènes des ambitions personnelles (entre deux gros mensonges).  Le pouvoir d’achat, budjet d’austérité sans précédent voté à l’assemblée nationale, validé et renforcé par le Sénat, l’emploi, la crise financière, la guerre commerciale qui menace avec les Etats Unis, en bref, l’anxiété du futur ou la vie au quotidien. Et ce ne sont pas les fulgurants (et inqiétants) progrès de l’IA (intelligence artificielle) qui vont calmer le stress (bien au contraire). La bonne nouvelle, c’est que la France, après avoir fait « les fonds de tiroirs » à retrouvé 100 M€ (milliards d’euros) pour financer en urgence, l’avancement du développement de l’IA (?). La course est bien lancée, pour la domination (des restes) du Monde de demain.

https://www.bing.com/videos/riverview/relatedvideo?q=chanson%2c+The+end+of+the+Woord&mid=53C176715CB52CAD827E53C176715CB52CAD827E&FORM=VIRE

À Chartres (28000), le maire/président d’agglomération, nous dévoile dans le N° #248 du magazine « Votre Ville » n’avoir que 3 (trois) priorités, le reste ne le concerne pas (?) (où peut-être, juste sa longue réflexion (dilemme), sur le fait d’adhérer (où pas) au parti LR (pour plaire et faire comme les « copains« ). https://www.lechorepublicain.fr/chartres-28000/actualites/en-eure-et-loir-qui-sont-les-tenors-politiques-qui-soutiennent-la-candidature-de-bruno-retailleau-a-la-presidence-des-republicains_14640539/

Des priorités très largement détaillées, en pages : 6 à 9, vision apocalyptique de la ville !

https://www.chartres.fr/fileadmin/user_upload/votre-ville/2025/votre-ville-248-janvier-magazine-chartres-ville.pdf

 

À commencer par la N° 1, » le jardin de l’évêché« , resté des années en décrépitudes, qui subitement et contre toute attente, à l’attention et les faveurs du maire, qui se doit, rappelons-le, de tenir ses engagements à l’égard des sociétés de BTP, partenaires de la ville et de l’agglomération ! (fournir des chantiers), comme la construction d’un parking PAYANT sous le jardin […]

 

Construire également un nouveau parking, entièrement… PAYANT en lieu et place de l’actuel centre de recrutement de l’armée, et l’un des fiefs (pour le moment) de la Société Eiffage (place Saint Pierres), mis à disposition de cette derniere, gracieusement par la mairie, en supprimant aux élèves, le square du lycée Marceau, et au plus grand mépris du code de la route et interdictions locales. Les « phantasmes » de l’édile, passent encore avant le bien-être des enfants et adolescents (question, d’habitudes à Chartres) !

 

 

 

AVANT :

 

 

 

 

 

APRÈS :

 

 

Après cette promotion GRATUITE, pour les « projets de la ville » (et personnels), MédiaChartres va continuer ses investigations.

Sylvie Muller

 

 

 

 




MENSONGES/RÉALITÉ !

 

 

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Alors qu’un énième premier ministre, se réjouit d’avoir fait passer le budget de fonctionnement 2025, pour la France (?) MédiaChartres médite encore, sur ce tour de « passe-passe » réalisé avec, et grâce à des compromis […] et des promesses à tour de bras.

enfumage !

 

 

 

Une première étape dans le futur grand plan d’austérité, qui se profile à l’horizon.

Une question subsiste, comment en sommes nous arrivé là, et une deuxième (plus intéressante), ou est passé l’argent ?

MédiaChartres apporte des réponses, pour comprendre !

Et pour mieux assimiler, regardez, et SURTOUT écoutez attentivement, Analyses et témoignages :

https://www.youtube.com/watch?v=hcKZ6lXvy-I

Pour les septiques ou adeptes de la « théorie du complot », un petit retour sur une page de notre histoire. Et les similitudes incontestables et glaciales, avec le présent (et l’avenir, proche).

 – Face au spectacle dramatique de la dette publique, tout se passe comme si ce problème, parce qu’il est d’actualité serait inédit. A tel point que les solutions proposées à longueur de discours – moins de dépenses et/ou plus de recettes – paraissent novatrices et évidentes.

Or quiconque s’intéresse à l’Histoire ne peut qu’être stupéfait par la similarité des discours d’aujourd’hui et d’hier, en particulier si l’on étudie la dette de la Première guerre mondiale.

D’emblée, il ne s’agit pas de céder à la facilité de dire que l’Histoire se répète (quoique). Ce sont les acteurs de l’Etat qui se répètent. Utilisant les mêmes concepts, ils proposent les mêmes solutions. Seulement, ces mêmes solutions ont conduit à transformer la comédie de la dette publique des années 20 en tragédie des démocraties des années 30.

Après la guerre, la dette publique intérieure est de 178 milliards de francs pour un budget normal de 5 milliards de francs en 1914. Le Gouverneur de la Banque de France pose le problème dans des termes qui n’ont depuis pas varié : « Le retour à [l’] équilibre a pour condition première le remboursement de la dette de l’Etat, remboursement qui dépend lui-même et d’une stricte économie dans les dépenses publiques et de l’effort du pays pour fournir au Trésor des ressources suffisantes ». Partant, le Bloc national peut se faire élire en 1920 avec pour programme « Assainissement des finances publiques, lutte contre le gaspillage, limitation de l’initiative parlementaire en matière de dépenses, simplification des rouages, suppression des emplois inutiles ». La comédie de la dette publique peut commencer.

Lorsqu’il est question de dépenses, « il y a trop de fonctionnaires » (E. Brousse, ch. des députés, 14/12/21). Un sénateur dit : « une politique qui tend à réaliser dans les services publics les économies nécessaires je l’appellerai une politique de réformes. » (20/05/20).

Concernant les impôts : « le système fiscal doit être fonction du système économique. Vouloir faire l’inverse, c’est compromettre le développement du pays, c’est arrêter dans leur essor toutes les initiatives de production » écrit un ministre des finances.

La dette est telle que le Bloc national ne parvient pas à régler le problème. Lorsque la dette occupe la moitié du budget de l’Etat, la réduction des dépenses pour la soutenir impliquerait un hara-kiri étatique. Pour autant, la comédie de la dette mène à une crise de la vie chère qui permettra à la Gauche conduite par Herriot de se faire élire.

Par souci de crédibilité, la Gauche ne remet pas en cause le texte de la comédie qui s’est jouée depuis 1920. Herriot dit « il nous faudra inspirer la confiance, montrer que nous en sommes dignes, montrer que des hommes comme nous, des républicains de gauche sont de bons administrateurs, nous devrons appliquer les principes sans lesquels il n’y a pas d’Etat solide, et, en particulier, le principe de l’équilibre budgétaire ».

Et la comédie pourra se rejouer en dépit de l’alternance politique : « « Nous voici engagés dans un débat dont dépend l’avenir des finances françaises » (28/01/26) « Pour qu’[un patron] ait cette confiance, il ne faut pas le décourager par des impôts excessifs ». (30/01/26).

Là encore, la dette est telle que l’issue de la comédie ne peut mathématiquement pas être résolue par la réduction des dépenses ou l’augmentation des impôts. Mais au lieu de remettre en question les solutions classiques, les acteurs doutent de l’institution parlementaire. Si le Parlement n’arrive pas à  résoudre le problème de la dette, le problème c’est le Parlement. Un comité de spécialistes propose ce que l’un deux nomme lui-même une « dictature financière » (E. Moreau).

Poincaré finira par obtenir les pleins pouvoirs en matière financière en 1926. Il signera plus de 80 décrets en moins de 4 mois. On peut sourire de certains : « La situation financière commande, dans tous les domaines, les plus rigoureuses économies. Or, les brigades de gendarmerie à cheval sont d’un entretien coûteux et, dans beaucoup de cas, le gendarme à bicyclette peut remplacer sans inconvénient, le gendarme à cheval » (17/09/26). D’autres sont saisissants tant ils transforment le rôle économique de l’Etat. Le sous-préfet doit ainsi devenir un « animateur » pour faire « l’inventaire nécessaire des ressources économiques » en « promouvant l’organisation et la création des industries » (10/09/26).

Ces mesures ne suffiront encore pas, pour les mêmes raisons. Mais au passage, l’institution parlementaire, et à travers elle la démocratie représentative en est ressortie singulièrement affaiblie.

Malgré l’autoritarisme des décrets, Poincaré ne résout pas le problème avec les méthodes qui avaient été appliquées aveuglement depuis 1920. Ce n’est qu’au bord du gouffre monétaire qu’il finit par accepter que la dette ne pourra pas être payée. Par la loi du 25 juin 1928, 80% de la dette est effacée en divisant la valeur du franc par 5. C’est le miracle Poincaré.

Malgré cette issue, les dix années du joug de la dette avaient tant acculé la société française dans la vie chère et remis en cause les cadres démocratiques au nom des nécessités économiques, que les années 30 pouvaient commencer.

Une courte leçon en forme de souvenir s’impose : les pleins pouvoirs ont d’abord été accordés en France pour des raisons budgétaires. La crise de la dette publique des années 20 a préparé la crise de la démocratie des années 30, en plongeant l’Europe dans l’abime des années 40.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Responsabilit%C3%A9_de_la_France_dans_la_Grande_D%C3%A9pression

 

 

 

Pour aller plus loin : (pour les plus septiques).

En DVD :

Question de MédiaChartres.

Allons nous revivre, un siècle plus tard, le même épisode (genre, film « Un jour sans fin » ) ?

 – La politique c’est comme la mode, un éternel recommencement, rien ne change vraiment –

Martine Leroy




INONDATION (S)

 

 

MédiaChartres soutien, plus que jamais, le monde médical.

 

 

Le précédent article de MédiaChartres, avait-il des relents de prémonitions ?

https://mediachartres.fr/2025/01/27/armageddon/

Dans le monde d’aujourd’hui, dominé par une actualité « blues« , « ensauvagement de la jeune génération, déserts médicaux, individualisme chronique de la population, justice/police en pleine déconfiture, politiciens à la ramasse, etc »

Le climat du « bien vivre » se délite au quotidien de plus en plus vite, certains évitent d’en faire « écho » (?)

Le climat, c’est aussi celui du temps, des intempéries à répétitions qui bouleversent la vie de milliers de personnes.

https://www.leparisien.fr/faits-divers/eboulement-en-savoie-1-500-naufrages-de-la-route-heberges-cette-nuit-lacces-aux-stations-de-ski-encore-complique-02-02-2025-QAS4YZ5JCVCYVCSHCAS7UWV5FU.php

https://actu.fr/planete/climat/crues-historiques-pourquoi-ces-inondations-records-en-france-sont-liees-au-changement-climatique_62181129.html

Dans l’agglomération de Chartres, elles sont bien réelles et visibles:

MédiaChartres

 

 

 

 

 

 

Les pouvoirs publics se disent impuissants, il existe pourtant de possibles solutions :

https://www.mediapart.fr/journal/ecologie/280125/eric-daniel-lacombe-urbaniste-n-arrete-pas-une-inondation-s-y-adapte?utm_source=quotidienne-20250128-190913&utm_medium=email&utm_campaign=QUOTIDIENNE&utm_content=&utm_term=&xtor=EREC-83-[QUOTIDIENNE]-quotidienne-20250128-190913&M_BT=1654172231343

https://www.francebleu.fr/infos/environnement/crues-il-faut-apprendre-a-vivre-avec-l-inondation-souligne-un-architecte-et-urbaniste-7493990

Le coût de la vie depuis le 1er février : https://actu.fr/economie/tabac-epargne-prix-de-l-electricite-autoroutes-tout-ce-qui-change-au-1er-fevrier-2025_62163569.html

Les licenciements à venir, la Banque de France estime par ailleurs que 143 000 emplois pourraient disparaître en 2025, principalement dans les secteurs industriels et les services à faible valeur ajoutée.

https://www.economiematin.fr/chomage-augmentation-emploi-france-crise-2025

Local : https://www.lechorepublicain.fr/luce-28110/economie/34-emplois-menaces-par-le-projet-de-fermeture-d-un-site-industriel-d-hydro-a-luce_14632765/

Enfants en danger : l’État rappelé à l’ordre par le Défenseur des droits : du 29/01/2025

 https://www.defenseurdesdroits.fr/protection-de-lenfance-808

https://www.mediapart.fr/journal/france/290125/enfants-en-danger-l-etat-rappele-l-ordre-par-le-defenseur-des-droits?utm_source=quotidienne-20250129-200606&utm_medium=email&utm_campaign=QUOTIDIENNE&utm_content=&utm_term=&xtor=EREC-83-[QUOTIDIENNE]-quotidienne-20250129-200606&M_BT=1654172231343

Une où deux petites (et dernières) « bonnes nouvelles », pour la route… et celles-ci -ci sont de taille !

https://actu.fr/sciences-technologie/un-asteroide-gros-comme-un-terrain-de-foot-pourrait-frapper-la-terre-pourquoi-2024-yr4-inquiete_62181487.html

https://actu.fr/monde/horloge-de-l-apocalypse-avec-donald-trump-l-humanite-n-a-jamais-ete-aussi-pres-de-la-catastrophe_62179957.html

Dans la course à la gouvernance du monde, l’IA est largement en tête, et la guerre fait rage, faisant des perdants (pour 600 Md- milliards de dollars- en une seule journée), la suite promet d’être « spectaculaire« : 

https://www.abcbourse.com/marches/nvidia%E2%80%AF-un-crash-boursier-historique-a-cause-de-deepseek_654679

Après ce flot d’informations, MédiaChartres maintient le cap, sur la vision de l’avenir du monde, de Chartres et de l’agglomération.

 

Noël Lechable

 

 




ARMAGEDDON

 

 

MédiaChartres soutien, plus que jamais, le monde médical.

 

MédiaChartres, ouvre une parenthèse sur l’état général des habitations de Chartres et des alentours.

Nombreux sont les chantiers « promotions immobilières » en cours où en projets, malgré le contexte déficient, qui touche de plein fouet le secteur.

https://www.bfmtv.com/immobilier/construction/agences-promoteurs-les-faillites-d-entreprises-ont-explose-en-2024-dans-l-immobilier_AV-202501210635.html

Les raisons sont multiples : pouvoir d’achat en berne, crainte du lendemain, taux d’intérêt des prêts, incertitude du marché du travail, crise politique, menaces géopolitiques, peur de l’avenir, suppression des aides à la rénovation, etc. La liste est de plus en plus longue et non-exhaustive.

Un climat anxiogène (peut-être voulu et créé pour mieux contrôler les populations ?) « simple extrapolation ».

La nature accentue le phénomène par le dérèglement climatique, qui à des répercutions, souvent dramatiques sur notre quotidien.

À l’exemple des habitations, qui subissent les affres des variations phénoménales de températures (quatre saisons en une semaine).

Les pouvoirs publics évitent de trop médiatiser le sujet, hausses vertigineuses des tarifs des compagnies d’assurance, elles refusent pour certaines, d’assurer les risques de « catastrophes naturelles« , ce qui à décidé un maire d’une petite commune de France, de prendre un arrêté « d’interdiction de catastrophe naturelle » !

https://france3-regions.francetvinfo.fr/provence-alpes-cote-d-azur/alpes-maritimes/menton/insolite-sans-assurance-un-maire-veut-interdire-les-catastrophes-naturelles-sur-son-territoire-3084982.html

Les arrêtés de mise périls ne se comptent plus, et les budgets comme les artisans, sont dans l’impasse.

Voyez plutôthttps://www.facebook.com/HaroldHuwart/videos/1333321617653086/

Le monde va à vau-l’eau et l’attention des personnes ne retient (au mieux), que la « vérité des médias« .

 

Un monde étrange qui continue de tourner […], mais avec deux questions existentielles, comment et jusqu’à quand ? 

2025 début du changement de la vie de millions de personnes, l’intelligence artificielle va faire sa grande rentrée et imposée Ses nouvelles règles et surtout, changer les modes de vies sûr la planète, être gouverné par des mégas data centers gigantesques.

MédiaChartres, reste nostalgique de ce monde qui va disparaître au « profit-S » de celui de demain.

 

Sylvie Muller

 

 




A UN FIL !

 

 

MédiaChartres soutien, plus que jamais, le monde médical.

 

MédiaChartres a lu l’édito du magazine destiné à : la propagande, aux congratulations où promotions, des élus-es de la ville de Chartres. « Votre vile » # 248, le maire et président de l’agglomération, évoque (citation) dans un soupçon de « lucidité« , les sombres perspectives de l’année 2025, avant d’adresser ses vœux aux quelques lecteurs qui prennent encore le temps de le lire [,..] malgré un tirage « annoncé » à 55 800 exemplaires ? (qui pour la plupart, finissent au pilon avec l’argent des contribuables).

Dans l’édito (du maire) du même numéro (page 3), nous apprenons qu’un gros effort financier (plusieurs millions d’euros), à été décidé de façon autocratique, pour financer la construction des futures habitations, devant accueillir les 1500 personnes, venant pour la plupart d’autres départements que l’Eure et Loir et qui doivent (?) êtres le « renfort » de l’usine/laboratoire de la rue Edmond-Poillot. Pour mémoire la ville et l’agglomération ont déjà massivement financées les extensions de cette société PRIVÉE (CQFD) Il est donc possible à Chartres, de trouver des fonds, pour le secteur privé et les actionnaires, mais… impossible, pour les URGENCES publiques !

MédiaChartres s’interroge du retour sur investissement pour la communauté (et non… à titre privé) !

Erreur de casting… des constructions qui auraient puent êtres à destination des très attendus personnels de soutient, aux services de santé, qui doivent faire face en ce moment et comme ils peuvent, dans des conditions extrêmes, à l’épidémie de grippe hivernale !

Un hôpital chartrain qui est désormais (comme beaucoup d’autres en France) géré comme une PME, par des comptables sans tenir compte (un comble pour des comptables) des avis objectifs du corps soignant, de la réalité des contraintes et des urgences du terrain.

Des personnes meurent chaque jour dans les AP- HP, par manque de personnel, les patients sont « stockés » sur des brancards dans les couloirs durant des heures, dans l’attente d’une hypothétique prise en charge, ce qui conduit à de véritables drames !

EXEMPLES :

https://france3-regions.francetvinfo.fr/centre-val-de-loire/epidemie-de-grippe-les-hopitaux-du-centre-val-de-loire-en-tension-le-plan-blanc-declenche-dans-plusieurs-etablissements-3088150.html#at_medium=5&at_campaign_group=1&at_campaign=centre-val-de-loire&at_offre=4&at_variant=V2&at_send_date=20250109&at_recipient_id=459386-1693003810-0263f21b&at_adid=DM1053043

https://www.leparisien.fr/essonne-91/une-patiente-de-20-ans-qui-attendait-depuis-des-heures-sur-un-brancard-decede-aux-urgences-de-longjumeau-09-01-2025-LKB276NMOJDB3LFGWAXQ3J4FRA.php

https://www.leparisien.fr/val-de-marne-94/villeneuve-saint-georges-enquete-ouverte-apres-le-deces-dune-jeune-femme-dans-la-salle-dattente-des-urgences-10-01-2025-3NM6Y4274FDZJHDTFWI7UHA4XE.php

 

                  -7 ministres de la Santé en 2 ans et demi-

Comment avancer et apporter des solutions, avec une politique en totale déshérence ?

À Chartres, une partie du personnel à déjà démissionné (sans êtres remplacé), et cela concerne également les services annexes, comme la maintenance (sources MédiaChartres). Priorité = #parking payant.

Le maire, président honoraire de l’hôpital, se garde de commenter la situation, et préfère continuer à élaborer ses projets titanesques. Mais est-ce vraiment se qu’attendent aujourd’hui les Chartrains, dans la vie au quotidien, sérieusement, n’ont-ils pas d’autres sujets de préoccupations auxquels ils doivent faire face ?

Avec une mémoire collective, nous aurons sûrement une réponse, au terme des 14 mois à venir.

Pourtant, souvenez-vous, ce même hôpital de Chartres, lui a sauvé la vie, il y a 5 ans (pose de stents).

Malgré tout, MédiaChartres, vous souhaite le meilleur, pour 2025.

 Clara Hirch

 

 

https://www.mediapart.fr/journal/france/230125/nombres-de-soignants-l-hopital-les-socialistes-trouvent-une-large-majorite-l-assemblee?utm_source=quotidienne-20250123-201713&utm_medium=email&utm_campaign=QUOTIDIENNE&utm_content=&utm_term=&xtor=EREC-83-[QUOTIDIENNE]-quotidienne-20250123-201713&M_BT=1654172231343

 

 

 

MédiaChartres vous informe, qu’il n’y aura pas de parution la semaine prochaine, pour raison de « redéfinition de la ligne éditoriale » (élargissement).

 

 

 




PAUSE !

 

 

MédiaChartres soutien, plus que jamais, le monde médical.

 

MédiaChartres, vous souhaite de :

et vous donne   le lundi 13 janvier.

 

 

 

 

La rédaction




BEST OF 2024

 

 

MédiaChartres soutien, plus que jamais, le monde médical.

 

MédiaChartres, fait le point et vous invite à une rétrospective en 10 « points chauds«  de l’année qui s’achève (et même, de celle d’avant) !

 

 

 

 

 

Quelques sujets, la suite est disponible à volonté sur notre page d’accueil en sélectionnent une catégorie, et en faisant votre choix.

https://mediachartres.fr/2023/04/03/rebondissement/

https://mediachartres.fr/2023/07/03/why/

https://mediachartres.fr/2024/02/21/lembrouille/

https://mediachartres.fr/2023/11/18/cm/

https://mediachartres.fr/2023/10/02/ironie/

https://mediachartres.fr/2023/09/23/obscurantisme/

https://mediachartres.fr/2023/09/18/services/

https://mediachartres.fr/2024/07/29/tres-chers/

https://mediachartres.fr/2023/07/11/grave/

https://mediachartres.fr/2024/05/13/money-is-money/

 

 

 

 

la rédaction

 

 




IRRÉVERSIBLE !

 MédiaChartres soutien, plus que jamais, le monde médical.

 

MédiaChartres, à relevé dans le –quotidien local- cette déclaration significative figurant dans l’avant-projet et dans le futur réaménagement de la Porte Morard, ainsi que dans la suppression à terme, de tous les parkings. Les résidents et utilisateurs, apprécierions les mensonges et les jeux de dupes (?)

Extrait :  » Le parking de la porte Morard va être « déplacé » ?. Cet espace deviendra uniquement piéton et cycliste. « Nous allons transférer l’aire de stationnement de l’autre côté du boulevard Clémenceau, au pied des nouveaux immeubles », précise Guillaume Bonnet avant de revenir sur les derniers éléments de ce dossier.
« Nous nous étions engagés auprès des riverains de la Porte Morard à conserver le même nombre de places de stationnement, mais un nouveau texte législatif nous contraint sur l’aménagement du futur parking. Nous sommes obligés de prévoir quarante-neuf places au lieu des soixante-douze que nous avions envisagées. »
-Par ailleurs, entre les mois de janvier et de juillet 2025, il n’y aura plus de parking place Morard, ni l’ancien ni le nouveau ne seront utilisables. L’adjoint comprend la gêne que cela va occasionner. « Je m’en excuse auprès des habitants de la base ville. » (…)

(en aparté et pour info, Monsieur l’adjoint, en plus de ce mensonge éhonté, sachez que l’on ne s’excuse pas, mais on demande poliment aux autres, de nous excuser). CQFD

Les bonnes règles de la politesse : Si l’on a commis une faute, on doit demander à la personne envers qui on a mal agi de nous excuser ; on ne peut le faire soi-même. On ne s’excuse pas plus qu’on ne se pardonne. On dira donc Je vous prie de m’excuser ou Je vous demande pardon1. Avoir du mal à présenter des excuses a très souvent un lien avec une haute estime de soi anormale.

De plus, il est fait allusion à un « nouveau texte administratif » sans en avoir mot, sur le fonds et la forme (publication), les habitants doivent-ils se « contenter » de votre simple affirmation ? Cela semble improbable après vos mensonges (ci-dessus)  et de votre perte de toute crédibilité qui en résulte.

Après cette parenthèse, il faut ajouter, que depuis des mois, le parking de la place Morard, servait exclusivement aux camionnettes des Artisans (tous immatriculés hors département) !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Parlons PARKING (encore) !

Celui de la Place Saint Pierre (les restes), est en souffrance et appelé à disparaître.

Revenons, sans (où plutôt avec) détours, au prochain sur la liste.

 

 

 

 

 

Pour MédiaChartres, c’est sans compter, la démolition de l’ancienne caserne des pompiers, Boulevard Clémenceau, qui va être la continuité du  parcourt « tout béton » du Boulevard Foch, et l’inéluctable suppression (à son tour) -après les deux de la Porte Guillaume- (biens publics), du « Parking des trois détours » à l’arrière de la caserne, d’une capacité de 71 emplacements, ainsi que les places des rues avoisinantes  ! Mais, il n’y a pas de petits profits… et ce, malgré le marasme qui touche l’immobilier, de plein fouet ! (25 000 suppressions d’emplois confondus dans ce secteur, en 2024).

Dans la logique du maire, plus les gens seront stationnés loin du centre ville, plus ils seront obligés d’utiliser le « BHNS«  mais à quel prix ?

Bus « miracle » accessible à tous, vraiment (?)

MédiaChartres à hâte de vérifier, la véracité du système.

 

La suite à déjà été programmé, avec « l’incendie » ayant détruit deux fois (2) la petite maison au coin de la rue du Petit Bouillon, qui avait fait l’objet d’un recourt admiratif, prés de la cour d’Orléans (par des riverains), et qui avait débouté la mairie de Chartres de son projet immobilier, la politique de la « terre brulée » à vraisemblablement rebattu les cartes, pour permettre de remettre le projet, sur le devant de la scène (ou plutôt, des bords de l’Eure !).

 

           AVANT                                     APRÈS 

 

 

 

 

Par l’unique volonté et entêtement d’un seul homme, la physionomie toute entière du quartier, est condamnée à une transformation radicale, entraînant dans sa chute, la fermeture définitive du point d’accueil de jour des SDF (ex locaux, de la carrosserie Coculo), Boulevard Clémenceau.

Un panorama, dans ses derniers jours, « l’ancienne caserne des Pompiers« .

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’actuel, « point d’accueil de jour« .

 

MédiaChartres

 

 

 

La prochaine étape du Boulevard Clémenceau, une continuité de destruction et de bétonnage.

 

 

 

 

 

MédiaChartres s’interroge, sur la « l’égalité » du bétonnage, face à la loi ZAN (zéro artificialisation nette)

 

 

https://www.ecologie.gouv.fr/presse/communique-presse-zero-artificialisation-nette-publication-decrets-dapplication

« Zéro artificialisation nette » : publication de décrets d’application.

Extrait : La loi climat et résilience du 22 août 2021 a fixé l’objectif d’atteindre le « zéro artificialisation nette des sols » (ZAN) en 2050, avec un objectif intermédiaire de réduction de moitié de la consommation d’ENAF dans les dix prochaines années (2021-2031). Cette trajectoire progressive doit être déclinée territorialement dans les documents de planification et d’urbanisme.

La loi du 20 juillet 2023 visant à faciliter la mise en œuvre des objectifs de lutte contre l’artificialisation des sols et à renforcer l’accompagnement des élus locaux, adoptée cet été à la quasi-unanimité, prévoit des adaptations pour faciliter l’atteinte des objectifs et plus particulièrement leur déclinaison territoriale.

Dans le prolongement des engagements pris par le Gouvernement et des travaux conduits avec les parlementaires, trois décrets d’application en date du 27 novembre 2023 publiés au Journal officiel permettent de tenir compte des récentes évolutions législatives et favoriseront la mise en œuvre de la réforme. Ces décrets ont fait l’objet de plusieurs étapes de concertation et de consultation, en particulier avec les associations nationales de collectivités locales, et ont notamment reçu un avis favorable à l’unanimité du Conseil national d’évaluation des normes (CNEN).

Le décret n°2023-1096 du 27 novembre 2023 relatif à l’évaluation et au suivi de l’artificialisation des sols établit  une nomenclature pour évaluer et suivre l’artificialisation des sols dans les documents de planification urbaine. Il précise que les surfaces végétalisées à usage de parc ou jardin public peuvent être considérées comme non artificialisées, valorisant ainsi la contribution de ces espaces de nature en ville.

Pour rappel, cette nomenclature ne s’applique pas aux objectifs de la première tranche de dix ans (2021- 2031), ces objectifs portant uniquement sur la réduction de la consommation d’ENAF.

Par ailleurs, ce décret précise le contenu (données et indicateurs minimaux) du rapport local de suivi de l’artificialisation des sols. L’élaboration du rapport s’appuie sur des données mesurables et accessibles, que possèdent l’ensemble des communes ou leurs groupements, ou qui leur seront mises à disposition par l’Etat en particulier à travers un observatoire national de l’artificialisation des sols (dont le décret précise le rôle).

Le décret n°2023-1097 du 27 novembre relatif à la mise en œuvre de la territorialisation des objectifs de gestion économe de l’espace et de lutte contre l’artificialisation des sols détermine les modalités d’intégration et de déclinaison des objectifs de gestion économe de l’espace et de lutte contre l’artificialisation des sols dans les documents de planification régionale (SRADDET, SAR, SDRIF, PADDUC) et d’urbanisme.

Un communiqué de presse, qui ne concerne que les Médias, en oubliant les collectivités locales, étonnant ? (NDLR)

 

Martine Leroy