REVANCHE . . . !

MédiaChartres soutien, plus que jamais, le monde médical.
MédiaChartres constate, que le maire/président de Chartres Métropole, rase encore GRATIS !
À L’enseigne des malheureux arbres de la Porte Morard. Après l’abatage sauvage de ceux du Blv de la Courtille et les déboires judiciaires les concernant, il était important de montrer qui était le « maitre« , pour éviter les éventuelles railleries de l’opposition et montrer que la guerre de tranchée, ne fait que commencer.
La Porte Morad, avant :

et après :


et parfois même, ces arbres apportaient
de l’ombre aux véhicules de sociétés bien
connues (mal stationnées dans le virage) !

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MédiaChartres
Focus, sur le projet : (plus aucune place de parking) !

À Chartres, les projets s’enchaînent, à la même vitesse, que l’endettement des contribuables Chartrains et de l’Agglo.
À voir, dans l’édition #239 du magazine (propagandiste) « Votre Ville« , le Parvis de la Cathédrale dans les « phantasmes bétonneux » du maire.

Aujourd’hui et demain :





Une chose est certaine, c’est qu’au-delà et derrière la bétonisation en continu de la ville et de l’agglomération, des tractations se font entre Élus et dans le plus grand secret des administrés, les ennemis d’hier étant devenus, les meilleurs amis du moment […]
Pour mémoire : https://mediachartres.fr/2023/09/08/freres-ennemis/
Tout ceci confirme, qu’une couleur n’est pas la bienvenue à Chartres, c’est le vert !
Après, cinquante nuances de gris, voici . . .

Martine Leroy



Et puis, il y a l’age (80 ans) de l’interprète, qui ne le favorise pas, dans ses concerts, et laisse même parfois, un goût amer au Public ! (de l’avis, de notre confrère France Info),
Le raisonnement des exploitants tes n’est pas réellement cohérent, avec le choix de l’artiste (?)
Comme publié en date du 17/02/2024 par le quotidien local (page 4),
Une société locale « publique« . . . Vraiment ? Une interrogation justifiée par tout ce qui a transité (passé/en cours/où en projet) dans la plus stricte intimité de « l’entre soit » du maire et de certains adjoints tes… les comptes, étant soigneusement dissimulé à la lecture des administrés es (ceci expliquant peut-être cela). JAMAIS, les protagonistes n’ont cherché à connaître l’opinion des principaux intéressés, (les résidents es),
Pour la cour d’appel de Versailles, il ne fait aucun doute, sur les malversations volontaires et le système de rachat des parcelles et biens immobiliers, dans le but de développer le projet de la mairie. Sous estimation de valeur/préemption tardive/détournement de pouvoir/obstacle au droit de délaissement/ abus d’autorité, etc.
Même si la ville et la SPL (Chartres aménagement) formule un pourvoi en Conseil d’État, cette instance, est libre de recevoir et instruire (ou refuser) les dossiers qui lui sont présentés, « procédure préalable d’audition ».




MédiaChartres,

Pour les centrales à béton, c’est le « jackpot » du sur-mesure 24/24h.
En conclusion, le bonheur se trouve-t-il dans le pré, ou le béton ?



Les centres-villes meurent les uns après les autres, sur le territoire Français. Les raisons sont multiples (mais étaient prévisibles), depuis les années 70’s les Hypers marchés n’ont cessé de réduire l’attractivité du commerce de proximité (centre-ville). La réduction du stationnement de surface et les prix prohibitifs des parkings, le prix exorbitant des loyers, impôts et taxes, tout ce qui a contribué à l’accélération d’une disparition inéluctable.
Le pouvoir d’achat et l’inflation, ont presque achevé le processus de la désertification des « cœur de ville« , que les pouvoirs publics tentent en vain, malgré des sommes exorbitantes (subventions) de maintenir à flot.
Reconversion difficile, même pour les grands centres commerciaux qui doivent en permanence se réinventer sous peine de disparition. Les drives, le I commerce, les discounteurs, sont autant de difficultés à surmonter pour maintenir une fréquentation suffisante à la survie.

Dans le centre-ville de Chartres, l’hécatombe s’amplifie et les fermetures s’enchainent à un rythme effréné. Les magazines diffusés par la mairie ou l’agglo, soutenu par la Presse locale, essaient, à grands renforts de communications, de faire comme si les épisodes du feuilleton « Plus belle la vie, encore », étaient tous réalisés à Chartres.
Pour « faciliter » (…) l’installation des nouveaux commerces, la mairie subventionne une association et lui a même offert une vitrine, surface commerciale dont le montant du loyer et le bail, restent des secrets bien gardés ?
Commerce difficile en voie de disparition […], les boutiques « éphémères » fleurissent partout, le « Turnover » s’amplifie, les galeries marchandes se désertifient, bref… il faut avoir beaucoup de courage, pour ouvrir un commerce aujourd’hui.
Dans le dernier (N° 127) de « Votre Agglo« , 











Humour, où défiance ?
Les projets pharaoniques des promotions immobilières sur Chartres et son Agglomération, semblent remis en question ?
*Un promoteur local avait déjà « troqué » son permis de construire, rue Noël Balay/Famin, au profit d’une filiale de la ville (mystère en cours de résolution) !
Mais, rien d’affolant pour les élus-es, qui poursuivent inexorablement leurs « engagements« , auprès des sociétés de BTP !








Ce n’est pas l’annonce de l’arrivée « prochaine » d’un troisième scanner (?) qui va apaiser la détermination de l’ensemble du personnel hospitalier à bout de souffle, qui appelle les pouvoirs publics à prendre conscience de l’état d’extrême
Les hôpitaux sont désormais des entreprises, la rigueur est de mise et les économies obligatoires (rentabilité oblige !), et tout cela, au détriment des patients et du personnel. Aucune explications logique et rationnelle, ne peut justifier cet état de fait ! sauf « peut-être« , l’éternelle course aux profits et à l’enrichissement ! 





La question qui était en suspens et que
intérêt, autre que celui d’embellir leur commune et faire plaisir aux administrés-es, tout en y trouvant (aussi) un intérêt . . . plus personnel (?)
Les enquêteurs-trices, de 
Année charnière et décisive, pour voir l’aboutissement des diverses et nombreuses enquêtes de














La Madeleine (sans Marcel Proust) !




