Occupation de l’espace public : ces « exceptions » qui confirment les lois !

Les Élus de Chartres connaissent tous les lois en vigueur sur l’occupation de l’espace Public et cela ne fait aucun doute.
MédiaChartres a quand même tenu à vérifier, et la réalité nous a, et va vous étonner…

Rappel de la loi : chaque personne ou entité voulant utiliser l’espace public, pour une raison (durée et lieu), devra faire une demande préalable et obtenir une autorisation des services « compétents » de la Mairie. L’autorisation, devra préciser: le motif, la ou les dates, les surfaces, la durée, l’emplacement, les nom et adresse du pétitionnaire.

De plus, certaines règles générales ou spécifiques à la localité devront figurer sur le document, lequel devra être affiché visiblement durant tout le temps de l’occupation de l’emplacement. Le précieux sésame donne lieu au versement d’une taxe au profit de la municipalité.

A défaut du non respect de la loi, il appartient à la Police Municipale de verbaliser le contrevenant (ce qui est rarement, voir… jamais le cas).

L’autorisation étant nominative et ayant une durée limitée, elle ne pourra pas être réutilisée pour une autre occasion, de même pour les autorisations précaires de stationnement, à l’inverse de ce que nous avons déjà constaté à de nombreuses reprises !

Pour cause de Covid, la Municipalité a fait « grâce » de la taxe d’emplacement aux commerçants non sédentaires, pour une certaine durée
MédiaChartres approuve cette initiative ! Mais des questions se posent sur un certain nombre d’abus : terrasses de bar/restaurant fixées au sol par des chevilles , (acte délictueux et interdit), exonération de taxe « permanente » pour certains ?

Ailleurs, l’installation de bungalows de chantier par des sociétés qui affichent des autorisations de « pose de palissades » . avec de faux métrages linéaires; que devient alors la loi d’occupation de l’espace public ? Qu’en est-il de l’acquittement des taxes ?
Existe t’il des dérogations, et si « oui », pour qui et pourquoi ?, et la réponse à l’absence permanent et généralisé de contrôle ?

Le registre Public de la Mairie, nous en apprendra certainement d’avantage ?

Nous reviendrons sur ce sujet, après vérifications et explications de la Mairie, affaire à suivre.

-Alexandra Simonie-




Un achat pour la collectivité : vraiment (?)

En relisant un rapport succinct du Conseil Municipal de Chartres, MédiaChartres a vérifié qu’il existe bien des appels d’offres concernant les divers outils informatiques ou consommables, pour les différents services de la Mairie et ses, désormais très nombreuses annexes. De plus, comme la loi l’exige, il faut un minimum de documents et éviter « le mélange des genres« .

Le cas particulier des achats inférieurs à 25 000 € HT

« Depuis le 1er octobre 2015, les marchés d’un montant égal ou supérieur à 25 000 € HT sont passés sous forme écrite (art. 11 du code). En conséquence, les dépenses de marchés peuvent être réglées sur simple facture dès lors que leur montant est inférieur à ce seuil. En l’absence de contrat rédigé, l’ordonnateur doit établir un certificat prenant la responsabilité de l’absence de marché écrit ».

Nous avons été interpellés à MédiaChartres, au sujet de l’achat d’un PC (ordinateur de dernière génération) dans un grand magasin local spécialisé au cœur de la Ville: un achat effectué par un proche parent du Maire à titre personnel, mais facturé au nom . . . de la Mairie ?

Nous avons voulu en savoir d’avantage. Après une rapide enquête, nous avons obtenu les révélations et témoignages de la personne « informatrice », enregistrée et filmée à visage masqué : des preuves, que nous réservons à la justice (si besoin) !

Rappel:

https://www.weka.fr/actualite/execution-des-marches/article/quelles-sont-les-pieces-justificatives-necessaires-au-paiement-dun-marche-public-35218/

et

https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000042193593/

Il sera moins facile désormais, d’effectuer impunément ce genre de « tripotage« , cela vaut également pour d’autres institutions et sujets plus importants. MédiaChartres couvre l’info et vous informe, grâce à un vaste réseau de correspondants.

Serge Maloude




Tout doit disparaitre …

Le Musé du Compa va surement nous quitter, d’ici peu avec la complicité de l’ancien président du Conseil Départemental et du Maire de la Ville.

Quand on veut se débarrasser d’un chien on dit qu’il a la rage, et c’est exactement ce qu’il se passe en ce moment avec: Chartres et

Chartresagglo pour le Compa.

Les constructions « Bouygues » et consorts, poussent à chaque coin de rue et défigure la Ville, Chartres ne sera bientôt plus qu’une cité dortoir pour « Bobos » et de résidences de (faux) luxe.

Les tracteurs et autres objets de l’histoire de notre patrimoine agricole Beauceron, seront bientôt expédiés à Châteaudun (?) , nous n’avons rien contre cette charmante petite ville, qui pourrait se développer très vite et revivre à nouveau, mais pourquoi pas dans le Larzac, ou au fin fond de la Pampa espagnole. . .

Que fait Chartres aujourd’hui concrètement, pour aider les commerçants  du centre ville… à part construire un nouveau centre commercial en périphérie, c’est logique, non ?

Comme de construire une salle de sports/spectacle en plein centre ville avec toutes les nuisances qui vont en découdre (et elles sont nombreuses).

Il faut avoir un égo surdimensionné,  pour refuser le dialogues et resté fermé à toutes propositions.

Cela nous rappel des Noms prestigieux du passé, comme: Néron, César, Napoléon, Mao etc, tous de très grands démocrates.

F.G (correspondant MédiaChartres)