« ÉTRANGES » ET MALSAINES SIMILITUDES

MédiaChartres, relève de nombreuses similitudes, entre les Villes de Sète et Chartres, (à quand le jumelage ?).

     -Le Théâtre Molière de Sète-

Une artificialisation des sols supplémentaire … et dans 20 ou 30 ans, quand l’inéluctable ce sera produit, les « débatteurs » resserviront la même salade : « C’était une autres époque, les visions étaient différentes, les responsables n’avaient pas idée (et surtout, pas de conscience, bien sur !) du désastre qu’ils accomplissaient » BLABLABLA, etc !

Mais ce système et cette chanson (du sempiternel réchauffé), ça ne prend plus et n’émeut plus personne.

Et quand l’irréparable est commis, il est IMPOSSIBLE de revenir en arrière !

Alors, contrairement au chanteur Georges Brassens, nous ne ferons pas de supplique, même simplement, pour aller visiter Sète ou pour voir la plage, et en voici la raison.

La ville de Sète (34200) se situe dans le département de l’Hérault, au sein de la région Occitanie. La ville comptait 43 609 Sétois au recensement de 2016. La zone où s’est installée la ville de Sète était peu peuplée et servait surtout de repère pour les navigateurs. La ville en elle-même est fondée seulement en … 1666

Ça bétonne à Sète !

Projet de parking souterrain en centre-ville de Sète. En dépit de la procédure suspensive engagée par les riverains et l’association « Bancs Publics », qui n’ont à ce jour toujours pas pu prendre connaissance des permis réellement accordés, la mairie impose son projet de « ville apaisée » par la force avec l’appui de la Police Nationale.

Dernières nouvelles ce mardi 20 septembre :

* Les palissades encerclent entièrement la place interdite aux passants depuis le jeudi 15

* Depuis ce matin, les ouvriers s’activent au démontage du kiosque à musique sur la place

* La société Enedis semble avoir commencé à creuser pour installer des équipements électriques.

Ci-après : L’Appel lancé par le Collectif citoyen, suivi de la liste des signataires, celle-ci reste ouverte.

UN APPEL

Depuis début Janvier 2022, la mairie de Sète entend réaliser un parking souterrain sous la place du kiosque (dite Aristide Briand)

Un mouvement citoyen sans précédent s’y oppose. En tant qu’acteurs culturels, nous vous proposons cette Tribune du bon sens:

Nous sommes tous heureux à Sète d’avoir « les pieds dans l’eau » (surtout quand il fait chaud) mais nous ne voulons pas avoir la tête dans le ciment. Un projet municipal d’une immense dalle de béton pour installer deux étages de parking sous la place Aristide Briand n’est pas raisonnable. Finis les terrasses de café, les brocantes, les jeux d’enfants en plein cœur de ville!

Même si cela ne devait durer que trois ans, ce serait un chantier très compliqué, très coûteux, et surtout inutile car les conditions ne sont pas
réunies :

1/ Le kiosque à musique va subir une déconstruction risquée et une reconstruction encore plus risquée vu son poids et sa fragilité.
2/ Les nombreux arbres ne peuvent être transplantés vu leur stade de croissance. Crèveront-­ils à la déchetterie ?
3/ Il est certain qu’une eau de source coule régulièrement en sous-­sol menaçant le niveau inférieur de ce « parking » et l’ensemble des fondations.
4/ Et faudra‐t‐il placer des extracteurs pour les gaz d’échappement des voitures qui entrent et qui sortent. Et où ?

Soyons raisonnables, avoir les pieds au frais c’est bien, avoir la tête dans le ciment c’est indigne et aberrant.

Nous sommes atterrés devant la « modernisation » à marche forcée de Sète. Il y va de la survie de notre écosystème car Sète est un écosystème fragile parce qu’entouré d’eau et déjà trop bétonné par les municipalités du passé et la municipalité actuelle.

Certes il y a une forte pression démographique sur l’ensemble du littoral. Mais elle est créatrice de richesses qui doivent être gérées au plus près dans une honnête consultation des citoyens.

Que demandons-nous ? Simplement de freiner cette course vers l’abîme et ce développement urbanistique style années 70 profondément toxique pour l’environnement.

Trop d’élus sacrifient leur ville à des chimères pour certains, à des intérêts de clientèles pour d’autres…

Une ville réellement apaisée ne peut vivre que dans le libre concours de ses citoyens, à travers des consultations régulières, des dialogues courtois et une véritable harmonie entre tous les habitants de notre île singulière, singulière mais liée aux problèmes environnementaux de la planète.

Avec cœur et raison, voulez vous signer ce texte et en faire part à vos amis ?

Collectif citoyen Eric.Sarner (source Mediapart publié le 21/09/2022)

collectifcitoyen7@yahoo.com

Beaucoup trop de « coïncidences » et un réquisitoire, qui comme à Chartres, ne concerne pas les Élus (es), qui ne recherchent que l’intérêt personnel ou celui des « copains d’abord » (…) pour revenir à, G. Brassens

Dans tout les cas, MédiaChartres, constate un « ostracisme vénéneux », qui gangrène les Villes et les habitants.

Patrick Maresko




ENFUMAGE MALADIF !

Pour MédiaChartres et les différents médecins spécialisés que nous avons contactés, le dernier projet en date du Maire (après les 400 parkings sous la butte des Charbonniers) relève d’une pathologie compulsive avérée (?)

 

 

 

*Photos MédiaChartres

 

 

 

Monsieur le Maire de Chartres, affirme la main sur le cœur, dans un article de « son » quotidien local, que son projet de parking souterrain, sous le jardin de l’Évêché, est motivé et justifié, par un rapport d’urgence « on ne peut plus sérieux », mais en se gardant d’en donner le moindre détail ou la moindre ligne (CQFD).

Si cela est véritablement le cas, il doit et sera publié en intégralité, dans le quotidien préféré du Maire, et dans les magazines de la Mairie et de l’Agglo !

Le Nom de la société, ayant effectué cette « merveille » devra bien sur, y figurer.

D’après les sources de MédiaChartres, des expertises (X3), indépendantes, mené par des cabinets spécialisés, doivent être réalisés sur cet espace historique.

AVERTISSEMENT : (sources)
Ces indications sont données en complément du DTU 11.1 traitant du sondage des sols de fondations.

Direction des Affaires Juridiques

  1. Composition d’une reconnaissance géotechnique
  2. Rapport de synthèse
  3. Consistance d’une étude de sol
  4. Reconnaissance géotechnique Pour tout ouvrage une reconnaissance géotechnique, préalable à la conception et à la construction, est recommandée dont les résultats doivent être pris en compte. Ils influent sur le parti retenu.
  5. Le programme de la reconnaissance :

– tient compte des données géologiques générales de la région,
– tient compte des renseignements ou enseignements tirés de constructions voisines, s’il en existe,
– est adapté à la nature et aux dimensions générales de l’ouvrage à construire.

  1. Objet de la reconnaissance géotechnique

La reconnaissance géotechnique a pour objet d’identifier les sols sous et au voisinage immédiat de l’ouvrage et d’en quantifier certains paramètres de comportement. Elle est menée jusqu’à une profondeur qui dépendent des dimensions en place de l’ouvrage, ainsi que de l’importance relative des contraintes appliquées au sol à différents niveaux, par rapport à celles dues à la gravité préexistante à ces mêmes niveaux.

Il est rappelé à ce sujet que, dans un plan vertical, la zone d’influence en profondeur d’une fondation est de l’ordre de grandeur du double de sa dimension horizontale et de l’ordre de grandeur de la moitié latéralement. Il apparaît ainsi logique que les sondages atteignent au moins le niveau où la contrainte préexistante est peu modifiée par l’existence de l’ouvrage.

Le nombre de sondages est adapté aux dimensions de l’ouvrage d’une part et à la nature présumée des travaux d’autre part.

On peut en particulier limiter le nombre de sondages, lorsque la nature des couches de sol est nette et homogène et que les pendages sont faibles.

A titre indicatif, le nombre de sondages peut être estimé à raison de un tous les 400 m2 de structure au sol, avec un minimum de 3 sondages pour un réservoir ou un château d’eau.

  1. Paramètres de comportement du sol

Dans l’état actuel des connaissances géotechniques, il existe des paramètres permettant de quantifier la nature et le comportement des sols sous les sollicitations qui lui sont appliquées.

Les paramètres sont déterminés par des essais, soit effectués au laboratoire à partir d’échantillons intacts prélevés in situ, soit effectués in situ au moyen d’appareillages appropriés.

  1. Composition d’une reconnaissance géotechnique

Sans que les indications ci-dessous soient limitatives, on peut s’en inspirer pour établir la composition d’une reconnaissance géotechnique.

* Paramètres caractérisant la nature des sols

– aspect, couleur, texture,
– appellation suivant la classification normalisée,
– granulométrie,
– teneur en eau,
– compacité,
– poids spécifiques apparent et absolu,
– limites d’Atterberg,
– état de fissuration, pendages.

* Paramètres caractérisant le comportement des sols

Ces paramètres dépendent en partie du type de procédure et d’appareillage utilisé.

– résistance à la compression,
– caractéristiques intrinsèques :
. cohésion,
. angle de frottement.
– pression limite et module pressiométrique,
– nombre de coups donnés pour l’enfoncement d’un micro-pieux (essai dit SPT),
– résistance de pointe et frottement latéral lors de l’enfoncement d’un micro-pieux (pénétromètres),
– caractéristiques de déformabilité sous charges.

* Paramètres caractérisant la nature du sol vis à vis des écoulements d’eau

– présence de nappe ou non – Niveaux (plus hautes eaux connues, crues, étiages, etc.),
– nature de l’eau de la nappe (agressive ou non),
– perméabilité des sols.

  1. Rapport et synthèse

Dans tous les cas, la reconnaissance géotechnique fait l’objet d’un rapport comportant les parties suivantes :

– géologie de la région concernée,
– informations sur les constructions environnantes (s’il y a lieu),
– rapport sur les essais effectués (in situ et en laboratoires) :
. localisation des essais,
. description du matériel utilisé,
. mode opératoire,
. incidents,
. résultats obtenus.
– synthèse des informations et résultats obtenus.
– recommandations sur les procédés de fondations possibles et évaluations de leurs avantages et inconvénients.

Des indications quantifiées sont données sur les forces portantes, niveaux de fondation, valeurs admissibles, etc. A défaut ces éléments sont déterminés par l’entrepreneur et soumis à l’agrément de maître d’œuvre.

  1. Consistance d’une étude de sol

Une étude de sol, adaptée au type d’ouvrage, est communiquée aux soumissionnaires par le maître d’ouvrage.

Les ouvrages et leurs systèmes de fondation sont conçus en tenant compte des résultats des études de sol annexées au CCTP.

Cette étude sera conforme au DTU 13.12 « Règles de calcul pour les fondations superficielles » ou selon le cas au DTU 13.2 « Fondations profondes » : commentaires au cahier des charges de juin 1978, chapitre 1.1 « Calcul des fondations profondes soumises à charge axiale ».

Il appartient au maître d’ouvrage de préciser dans les documents d’appel d’offres :

– s’il a opté pour un type de fondations (superficielles ou profondes) ;
– s’il laisse la liberté de choix à l’entreprise.

Cette étude précise explicitement :

  1. a) dans le cas de fondations superficielles :

– la contrainte de calcul « q »,
– les paramètres permettant de calculer, selon la taille de la fondation, sa valeur ultime « qu »,
– les paramètres qui permettent d’évaluer les tassements absolus et les tassements différentiels.

  1. b) dans le cas de fondations profondes :

– la résistance de pointe,
– le frottement latéral,

ou les éléments permettant de calculer ces valeurs.

  1. c) le niveau maximum de la nappe phréatique, à prendre en compte dans les calculs.

Ces valeurs, au stade de l’appel d’offres, permettent aux soumissionnaires de faire une étude provisoire des fondations.

Voici, ce que devrait, logiquement contenir le rapport de M. le Maire, attendons de voir (si nous le voyons un jour ?) !

Le scepticisme de MédiaChartres en image

Martine Leroy




LA VÉRITÉ … !

Avec ce titre, MédiaChartres rend hommage au réalisateur Jean-Luc Godard, disparu dernièrement, mais également à l’émission « Cash investigation« , diffusée sur France 2, hier soir.

A voir ou à revoir sur    Ou https://www.france.tv/france-2/cash-investigation/

Le thème abordé par Élise Lucet et son équipe, colle à l’actualité, même (et surtout) locale ! avec l’amplification de l’artificialisation des sols (bétonnage à outrance).

*Chantier entrée Nord Chartres, sur 120 514 M2

 

 

  *Pôle Gare

 

 

 

https://www.axiom-promoteur.com/

Le nouveau, dans la place … !

https://www.societe.com/societe/axiom-promoteur-843347105.html

*Rue du Faubourg-la-Grappe (ex restaurant La Cloche de Bois)

 

 

 

 

Et contrairement à l’article du « journal local », ce ne sont pas 127, mais 141 logements qui étaient annoncés (?)

https://www.axiom-promoteur.com/programmes-en-cours

Sur la bétonisation:

L’État, avait fait des « promesses » (…) que le Sénat, se charge actuellement de lui rappeler, avec l’espoir de voir rapidement évoluer les choses, pour encadrer et stopper les « massacres« .

https://www.senat.fr/presse/cp20220314a.html

Et ce seront bien les adjoints en charge de l’urbanisme et de la délivrance des permis de construire, qui seront bientôt, en première ligne à répondre de leurs actes lors des interrogatoires, et pour … (Eux-Elles), les explications s’annoncent complexes (enrichissement et intérêts personnel), sous-jacent ?

 

 

 

Des révélations « surprenantes »: comme le financement des méthaniers, par certaines compagnies d’assurances, la France qui achète du gaz à ces sociétés, les grosses excuses des assureurs pour ne jamais rembourser les sinistrés dans le cadre des « CAT-NAT » (catastrophes naturelles), sur les cabinets d’experts corrompus jusqu’à l’os, la vitesse du réchauffement climatique (hors contrôle), etc.

Claude Harffi

* photos MédiaChartres  

 

 




Dépenses pharaoniques.

Ainsi, il suffit donc au Maire de Chartres, de claquer des doigts, pour avoir des interviews à la carte et publiés dans le « journal » local ?

Il nous dévoile SES projets, tous plus couteux, grandioses et fantasques.

MédiaChartres, étant savamment évité (et pour cause).

Ceci nous ramène, à une chanson de Michel Sardou, « Les lac du Connemara » et particulièrement à ce passage :

« Là-bas au Connemara
   On sait tout le prix du silence
   Là-bas au Connemara
   On dit que la vie
   C’est une folie
   Et que la folie
   Ça se danse »

Alors il est certain et indiscutable, que nous avons d’excellents danseurs  à Chartres !

Mais dans les pages de « petites annonces« , à aucun moment le Maire n’aborde, le FINANCEMENT

Question certainement très indiscrète, mais MédiaChartres aime la transparence (la vraie) ! Et ce qui nous intéresse, c’est le « cash-flow« , soit la capacité d’autofinancement d’une entreprise ou collectivité, correspondant au bénéfice après impôt augmenté des amortissements et réserves hors dettes (et là … les choses se compliquent !).

Et cette question légitime, tout le monde la pause. Sur le sujet, même le comptable M. Franck M.  y perd son latin, et il faudra beaucoup de persévérance et de temps, à la Cour des comptes et au prochain contrôle du PNF pour commencer à comprendre, et aussi beaucoup (peut-être même plus) d’années aux Chartrains, pour « éponger » le passif (actuel et … à venir) de la Ville, créé par M. le Maire et ses adjoints.

 

 

 

 

Alors : banques étrangères,  pierre philosophale (1), Euro million , trésors des Templiers ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

(1)La Pierre philosophale en alchimie est le moyen de réaliser une conversion : au contact des métaux « épais », elle les transforme  en or.

 

Le Week-end prochain, à l’occasion des journées du patrimoine et des portes ouvertes, aurons nous accès aux secrets et à des révélations fracassantes (ou pas) ?

Martine Leroy




La nébuleuse arrière boutique du béton de Chartres !

Une partie de l’équipe de MédiaChartres, a enquêtée sur les coulisses des bétonneurs.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ils se dissimulent derrière des « flous et vides juridiques », dans des labyrinthes saumâtres de nombreuses et obscures Sociétés écrans.

Mais, nous allons vous dévoiler le système.

 

 

 

 

 

 

 

 

https://entreprises.lefigaro.fr/sccv-24-courtille-28/entreprise-912619251

Comme il est visible, sur ce document, tout nous renvoie toujours, à la rue Saint Michel, ou se trouve le siège des annexes et satellites, de la Mairie de Chartres.

La direction en a été confiée, à l’adjointe en charge de l’urbanisme, qui cumule des dizaines d’autres mandats et fonctions.

Ici liens : https://dirigeant.societe.com/dirigeant/Karine.DORANGE.57266720.html

et https://www.hatvp.fr/%20fiche-nominative%20/?declarant=dorange-karine

et : https://www.infogreffe.fr/entreprise-societe/829175579-s-c-c-v-expansion-280117D001710000.html

Chacun pourra constater, qu’il n’existe RIEN sur 2021 (chômage ou bénévolat) et la décroissance des rémunérations au fil des années, compensée par la croissance des mandats.

Vous pourrez voir en bas de page, la présence, d’une petite partie des autres membres du « Club » V.I.P. de Chartres et Chartres Agglo.

Nous nous sommes intéressés à la Société SCCV 24 boulevard de la courtille, document qui établi de façon formelle, le lien étroit avec M. Philippe Bourguignon, de la SAS C.G.I.P.I  promoteur.

Extrait : AVIS DE CONSTITUTION Suivant acte reçu par Me Louis MARCEUL, Notaire Associe, Membre de la SAS dénommée « ALTER EGO NOTAIRES », titulaire d’un office notarial à Chartres (Eure-et-Loir), 12 rue du Bois-Merrain, le 14/04/2022, a été constituée une société civile de construction vente ayant les caractéristiques suivantes : Dénomination : : SCCV 24 COURTILLE. Capital social : 1.000 EUR. Les apports sont en numéraire. Siège social : Chartres (28000), 14 rue Saint-Michel. Objet : l’acquisition d’un immeuble à CHARTRES, 24 boulevard de la Courtille, la construction sur ce(s) terrain(s)d’immeubles collectifs à usage principal d’habitation, la vente en totalité ou par fractions, des locaux construits, avant ou après leur achèvement, accessoirement leur location. Gérance : Le premier gérant de la société est la COMPAGNIE GÉNÉRALE D’INVESTISSEMENT ET DE PROMOTION IMMOBILIÈRE, CGIPI, dont le siège est à PARIS (75008), 128 rue la Boétie

Encore une domiciliation : https://www.societe.com/entreprises/128_rue%20la%20boetie/75008_PARIS.html

https://www.societe.com/societe/compagnie-generale-d-investissement-et-de-promotion-immobiliere-414401752.html

Adresse, d’une simple domiciliation : (comme, au 7 rue de la Boétie 75008 Paris)

https://www.societe.com/entreprises/128_rue%20la%20boetie/75008_PARIS.html

MédiaChartres, à encore quelques paramètres à vérifier, pour boucler le dossier « Laisse béton ».

Alexandra Simoni

 




Bienvenue chez . . . nous !

MédiaChartres vous explique, LA raison des constructions qui détruisent l’aspect pittoresque et historique ainsi que ce qui faisait le charme de Chartres, au détriment de la frénésie de la rentabilité financière sans fin.

Pour mieux comprendre, la folie croissante du « bétonnage intensif » des Villes (avec Chartres en bonne place), il faut résonner comme les investisseurs (sans état d’âme).

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

https://renverse.co/analyses/article/pour-en-finir-avec-le-beton-arme-et-son-monde-2939

Explications :

Immobilier : quelles villes sont les plus intéressantes pour un investissement locatif ?

Avec une inflation qui ne cesse de croître (plus de 6%) tous les investisseurs sont à la recherche du meilleur placement pour leur argent. Et l’immobilier locatif peut s’avérer une « bonne opportunité », voici les 10 villes dans lesquelles il fait « bon d’investir », ou le bétonnage ne cesse JAMAIS, offrant de perpétuelles et constantes possibilités.   

« Vous souhaitez vous lancer dans un investissement immobilier mais ne savez pas sur quelle ville miser ? Selon une étude menée par la société Masteos (1), qui se présente comme spécialiste de linvestissement locatif clé en main, le podium pour la rentrée 2022 se compose de Thionville, Metz et Draguignan, avec respectivement un rendement brut moyen de 6,80%, 6,76% et 6,63%. »

Thionville en tête du classement

Top 10 des villes françaises pour un investissement locatif
Classement Rendement brut moyen Prix moyen du m2
1 – Thionville 6,80% 2207 euros
2 – Metz 6,76% 2129 euros
3 – Draguignan 6,63% 2280 euros
4 – Colmar 6,58% 2134 euros
5 – Chartres 6,26% 2225 euros (aller,encore un effort) !
6 – Melun 6,20% 2864 euros
7 – Lorient 6,14% 2385 euros
8 – Annemasse 6,06% 3289 euros
9 – Arles 6,01% 2556 euros
10 – Quimper 5,91% 2070 euros

Parmi les autres villes du Top 10, on retrouve Chartres et Melun, deux villes situées en région parisienne. Il faut dire qu’avec l’avènement du télétravail, les particuliers n’hésitent plus à quitter la capitale au profit de villes moyennes. Pour les investisseurs dans l’immédiat, miser sur ces destinations peut donc être un bon plan,  mais attention …, à revoir dans 5 ou 10 ans !

(1) Étude menée par « Masteos » sur le rendement brut estimé au regard du prix moyen du mètre carré par « Meilleurs Agents » dans des villes de plus de 40 000 habitants.

La principale raison du bétonnage de Chartres n’est donc pas « le manque de logement » (comme certains voudraient le laisser croire, et prennent honteusement comme prétexte), mais bien, l’avidité et la recherche du profit personnel, juste cela, et rien d’autre !

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Même le Sénat se saisit du sujet et interpelle sur l’urgence de revoir la loi.

 -Proposition de loi visant à renforcer le « dialogue territorial » en faveur de la lutte contre l’artificialisation des sols :

  • Texte n° 863 (2021-2022) déposé au Sénat le 5 août 2022
  • Mais, MédiaChartres ne vous apprend rien, et ne fait que confirmer se que beaucoup soupçonnaient ou savaient déjà.

       Sylvie Muller




Une célèbre réplique, de film culte !

MédiaChartres reste le souffle coupé, d’apprendre que Chartres concourt au titre de « plus beau centre Ville » ?

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous avons d’abord pensé à une blaguounette de 1er Avril … mais non, et c’est la que la célèbre réplique de, « Fernand Naudin » (Lino Ventura) dans le film « Les Tontons flingueurs » (1963) prend tout son sens.

Pour la deuxième fois, les Vitrines C’Chartres participent au grand jeu concours national des « plus beaux centres-villes commerçants de France » (rien que ça) ! https://www.fncv.org/

 » le centre-ville est unique grâce à sa cathédrale, son cœur de ville piétonnier, sa riche diversité de commerces, sa multitude d’événements et animations et sa culture en plein centre-ville »

source: déclaration, de la « manageuse centre Ville »

Pour MédiaChartres et toutes les personnes interrogées sur le sujet, la vision est bien différente, voici pourquoi.

Si le centre Ville était si attractif, le turnover des enseignes ne battrait pas des records, le tarif  prohibitif et usurier des parkings, les rues piétonnières qui ressemblent à un échiquier géant (noir et blanc) avec ses pavés et dalles cassés, qui dépassent (nombreuses personnes sont déjà tombées et blessées), les joints délavés qui laissent place à des crevasses de 5cm par endroit (devant le théâtre et à l’entrée de la rue Noël Ballay), les « inter-minables » chantiers dans toutes les rues (ravalements, loi ORI, etc). https://www.courrier-picard.fr/id250187/article/2021-11-14/amiens-des-rustines-sur-les-dalles-cassees-de-la-rue-pietonne-en-attendant-mieux

Petit extrait en photos, des « points forts » du centre Ville de Chartres (photos MédiaChartres)

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il ne fait aucun doute, que ceci, fait du centre Ville de Chartres, le plus beau et incomparable de France « miroir, mon beau miroir, dis-moi qui est le plus beau », il va falloir patienter, le suspense sera insoutenable …  Clôture des votes et annonce des résultats le 26 septembre.

MédiaChartres souhaite quand même, sincèrement, bonne chance à tous les commerçants.

Sandra Michelle




Quand les « Verts » voient « rouge » !

Dossier « hot » pour la rentrée de MédiaChartres.

Sujet de discorde et bras de fer, entre le parti écologiste local et le Maire de Chartres, concernant l’abattage de 3 arbres Blv de la Courtille, dans l’enceinte du parc de la Chambre des métiers, qui vie ses dernières heures, pour faire place à un nouveau « bétonnage » qui caractérise et fait désormais la renommée, de la Ville.

????

 

 

 

 

 

A l’actif du Maire et sa garde prétorienne, il y a l’abattage de nombreux arbres, souvenirs par MédiaChartres: Blv Chasles/de la Résistance/Clemenceau/Foch/de la Courtille (piscine)/Place du Cygne/Châtelet/Faubourg St Jean/Avenue Jean de Beauce/etc … et sur d’innombrables chantiers: rue de Varize/de Reverdy/du Cardinal Pie/Famin/des Lisses/Chanzy/Gabriel Péri/de Sours/de Châteaudun/du Bourgneuf/Nicole/Chauveau Lagarde/Place St Brice/du Grand Faubourg/Petit Bouillon/Le Colisée/Pôle Gare/ le Off/Banque de France/Hôtel Dieu/etc …

Et ils sont très loin d’être  « Guery » (…)  https://www.enseignement-prive.info/fiche/ecole-privee-guery-chartres/ET028-31

Pour certains il est déjà trop tard et pour d’autres, l’avenir semble funeste

 

 

 

Ilot de verdure, Blv Foch, promis à l’abattage, par M. Bouygues

 

 

 

Cèdre Bicentenaire du Blv Foch, abattu:  https://fr.wikipedia.org/wiki/C%C3%A8dre

 

 

 

 

 

 

Il semble définitivement établi, que le vert ne soit pas la couleur de prédilection et la bienvenue à Chartres, pour le Maire et « certains adjoints« , sauf pour:

http://chabriol.com/reservation/

et n’oubliez pas de cliquer, sur/ CONTACT

qui voudrait abattre des arbres ici ?

 

 

 

 

Ou encore, (bien toléré) sous cette forme … ?

Martine Leroy

 

 




« BAD » EXEMPLES !

 

 

 

 

Avoir un « titre une fonction », ne donne à PERSONNE et en AUCUN CAS le droit d’en abuser, pour contourner la loi ou de l’utiliser à son profit !

Et pourtant, MédiaChartres constate régulièrement, des abus qui ne sont jamais sanctionnés, à contrario du citoyen lambda.

MédiaChartres, a compilé quelques exemples photos (perles de son album): Police/Préfecture/Mairie (services-Amis- famille) etc (extrait).

Vous pouvez, vous aussi, nous faire parvenir vos meilleurs clichés ! (merci).

Que de beaux exemples ! 

Clara Hirch

 

Police Municipale

L’Avocat du Diable

Police Municipale sur le trottoir

La Préfecture et son parking privé

Préfecture

Préfecture en Ville

La fille du Maire sur le trottoir

Gendarmerie

Eiffage

Spéciale sportifs

 

 

 

Citya agence

 




UN MIRACLE …

« Les jardins de l’évêché, sont fermés de l’extérieur« , un titre de film pour MédiaChartres.

 

Cela fait désormais des mois, que les jardins sont inaccessibles, pour raisons sécuritaires‘ des travaux étant dans l’attente (de quoi ou de qui) ?

Aucun affichage légal et pourtant OBLIGATOIRE, ne figure !

 

N’étant visiblement pas une priorité (par rapport à d’autres chantiers de la Ville) MédiaChartres s’interroge sur la priorisation, de l’hypothétique classement en fonction du rapport financier ?

 

 

 

 

 

Dans tous les cas, Chartrains et touristes cherchant à se rafraichir et se reposer sur les bancs à l’ombre des arbres, devront encore TRÈS longtemps allez chercher ailleurs, et pendant ce temps la friche s’installe !

 

 

 

 

 

 

Mais, étant proche de la Cathédrale, un miracle est toujours possible ?

Également possible, l’hypothèse de la construction d’un téléphérique partant de l’Évêché, pour rejoindre le nouveau-futur « plateau Nord-Est » ?

 

 

 

 

Car après tout, n’oublions jamais qu’à Chartres, tout est possible,même si tous devront encore patienter des mois (voir des années) , chacun disant un grand MERCI !

 

 

 

 

 

Clara Hirch