« BAD » EXEMPLES !

 

 

 

 

Avoir un « titre une fonction », ne donne à PERSONNE et en AUCUN CAS le droit d’en abuser, pour contourner la loi ou de l’utiliser à son profit !

Et pourtant, MédiaChartres constate régulièrement, des abus qui ne sont jamais sanctionnés, à contrario du citoyen lambda.

MédiaChartres, a compilé quelques exemples photos (perles de son album): Police/Préfecture/Mairie (services-Amis- famille) etc (extrait).

Vous pouvez, vous aussi, nous faire parvenir vos meilleurs clichés ! (merci).

Que de beaux exemples ! 

Clara Hirch

 

Police Municipale

L’Avocat du Diable

Police Municipale sur le trottoir

La Préfecture et son parking privé

Préfecture

Préfecture en Ville

La fille du Maire sur le trottoir

Gendarmerie

Eiffage

Spéciale sportifs

 

 

 

Citya agence

 




A VOMIR !!!

MédiaChartres, ouvre une parenthèse sur la condamnation récente du Maire de Lèves, pour des faits à caractères sexuelles, pour vous aider, nous vous apportons un éclairage sur la définition juridique.

 

 

le jugement a été rendu en l’absence de l’accusé , il est reconnu coupable des faits qui lui sont reprochés et condamné à :
– 6 mois de prison avec sursis,
– interdiction d’entrer en contact avec la victime pendant 3 ans,
– 6 mois d’inéligibilité avec sursis,
– 5 000 euros de dommages et intérêts,
– 3 000 euros au titre de la procédure judiciaire.

 Juridique : Les agressions sexuelles : « formes et sanctions »

Selon le Code pénal article 222-22 les agressions sexuelles constituent toutes les infractions ayant un lien avec la sexualité non consentie par la victime. Ces agressions peuvent être des rapports avec pénétration ou des attouchements de nature naturelle comme le sexe oral, les caresses, les baisers, et autres. Tout le monde peut être victime des violences sexuelles, quel que soit son genre.

Les différentes formes :

Les agressions sexuelles sont commises par une personne qui veut exercer son pouvoir sur un autre. Ces actes sont passibles de poursuites judiciaires et des sanctions pénales,  quelle que soit sa forme, parce qu’elles portent atteinte à l’intégrité physique et psychologique de la victime même si elle échappe à son agresseur. Une violence sexuelle peut donc se présenter sous différentes formes telles que :

  • Les appels ou textos à caractère sexuel : image, texte ou photo
  • Des attouchements sexuels y compris les baisers et le tâtonnement s’ils ne sont pas consentis.
  • L’exhibition sexuelle
  • Des harcèlements sexuels : il s’agit d’un abus de pouvoir
  • L’exploitation sexuelle : utiliser une personne à des fins pornographiques ou de prostitution en la contraignant de chantage ou de violence.
  • Le viol : forcer une personne à pratiquer un rapport sexuel contre son gré. C’est la forme d’agression sexuelle la plus grave.
  • L’agression sexuelle est une expérience traumatisante à la victime. Cette infraction se manifeste sous forme d’abus de pouvoir. C’est pourquoi même si la victime donne son consentement, mais sous l’influence de crainte, de la force, ou de menaces,  la loi la considère toujours d’une agression sexuelle. Il en est de même si le consentement est donné parce qu’une personne en position d’autorité l’oblige à le faire. C’est toujours le cas dans les lieux du travail, le salarié a accepté de faire une activité sexuelle, car son employeur le menace de le renvoyer ou de ne pas le payer. Aussi, le consentement donné est invalide aux yeux de la loi lorsqu’il est donné quand la personne se trouve dans un état incapable de consentir comme l’ivresse, droguée, la déficience mentale, et autre. Et si après l’activité sexuelle consentie, la personne est devenue inconsciente, la loi en vigueur la considère toujours comme une violence sexuelle.

    Les éventuelles peines encourues (en théorie) !

    Les agressions sexuelles peuvent être considérées comme des délits et crimes suivant leurs gravités. Donc, la victime peut porter plainte auprès d’un commissariat, au procureur de la République ou saisir directement la justice pour partie civile. La plainte est dans le délai de 3 ans pour la victime majeure et peut se faire à 30 ans après la majorité de la victime si elle est mineure. Et pour cela, l’agresseur sera sanctionné selon le type d’agression sexuelle qu’il a commis. En cas de proxénétisme, il risque de payer une amende de 150 000 euros avec une peine d’emprisonnement jusqu’à 7 ans. En ce qui concerne le viol, l’agresseur risque une peine de prison de 15 ans, et peut aller jusqu’à 20 ans avec des amendes s’il existe des circonstances aggravantes : victime mineure, victime qui a une défaillance mentale, victime morte, et autres

    MédiaChartres relève, qu’entre les « éventuelles peines encourues » et celles généralement prononcées, il y a tout un très grand Monde (…) Car contrairement à une peine pour (exemple) un délit routier, les sanctions ne sont pas fixes et inscrites dans le marbre, mais bien laissées à l’appréciation du Juge, qui d’après lui établira la gravité des faits (et parfois aussi, d’après le statut et le réseau d’influence, de l’accusé ?).

  • La loi inclut désormais un critère de gravité des faits.
     L’article 222-27 du code pénal prévoit que la peine encourue est de 5 ans d’emprisonnement La juridiction de jugement tribunal peut condamner l’auteur à des peines dites complémentaires (en plus de la peine principale), telles qu’une injonction de soins dans le cadre d’un suivi socio-judiciaire, et de 75.000 euros d’amende.

    En conclusion: comment marché désormais, et supporter le regard des autres ?

    Clara Hirch




LA VIE AU « QUOTIDIEN ».

A la une de MédiaChartres, la situation et les perspectives de la Presse en Régions.

Les raisons: les récents bouleversements, comme : le prix des carburants, des services postaux (pour le portage), de la hausse des prix des matières premières (papier), de la difficulté à maintenir les salaires à niveau, de la fin de certaines aides financières en 2023, sont des sujets de préoccupations réels.

Extrait du dernier «Rapport d’information n° 805 du Sénat» (communication du 20/07/2022) :

Les groupes de PQR (Presse Quotidienne Régionale) 8 groupes structurent aujourd’hui le territoire métropolitain :

Ø le groupe Rossel qui cible les Hauts-de-France, la région Grand Est et la région Normandie ;

Ø le groupe EBRA (propriété du Crédit Mutuel), réparti au sein des régions Grand Est, Bourgogne-Franche Comté et Auvergne-Rhône-Alpes ;

Ø le groupe SIPA-Ouest France qui couvre les régions Normandie, Bretagne et Pays-de-Loire ;

Ø le groupe SAPESO – Sud-Ouest, en position dominante sur la région Nouvelle-Aquitaine ;

Ø le groupe Centre France – La Montagne qui couvre les régions Auvergne-Rhône Alpes, Bourgogne Franche-Comté, Centre-Val de Loire et Nouvelle-Aquitaine ;

Ø le groupe La Dépêche du Midi, qui cible la région Occitanie ;

Ø le groupe Nice-Matin, propriété de la holding NJJ de Xavier Niel, axé sur les départements du Var et des Alpes-Maritimes au sein de la région Provence – Alpes – Côte d’Azur ;

Ø le groupe La Provence, en cours de cession, également centré sur la région Provence – Alpes – Côte d’Azur, mais aussi la Corse.

Les dernières années ont vu se développer des titres de presse locale intégralement en ligne. Ces nouveaux titres reposent sur des modèles économiques eux-mêmes diversifiés, soit tout ou partiellement gratuits, soit intégralement payants.

Le plus connu est certainement le site Marseillais « Marsactu » qui fait maintenant figure de référence pour la qualité de son travail d’investigation, régulièrement repris par la presse nationale. https://marsactu.fr/

Marsactu a bénéficié du soutien de quelques particuliers et de Mediapart, qui constitue une référence pour les « pure players » pour sa qualité éditoriale et son succès économique basé intégralement sur l’abonnement et des enquêtes approfondies.

Les sites locaux purement en ligne représentent donc une des figures possibles du futur de la presse. Ainsi, entre 2014 et 2021, la PQN (Presse Quotidienne Numérique) a fait basculer son modèle économique. Le numérique est ainsi passé de 7 % de ses ventes et fréquentations à 61 %, soit une progression de 54 points. Dans le même temps, la PQR est restée très en retrait, en passant de 1 % à 13 %. Elle accuse donc aujourd’hui six ans de retard sur la PQN dans son développement numérique.

La PQR (presse quotidienne régionale) est prise en étau entre, d’une part, des coûts qui augmentent, pour des raisons à la fois structurelles et conjoncturelles, et, d’autre part, des ressources qui tardent encore à se renouveler et qui nécessitent des investissements importants pour se développer.

La publicité : Les tendances futures ne sont pas optimistes, selon les données de l’Union des Entreprises de conseil et d’Achat Media (Udecam) https://www.udecam.fr/?page_id=1803, le marché de la publicité imprimée devrait encore décroître de 15 % d’ici à 2024. Dans le même temps, la publicité sur Internet devrait poursuivre avec des taux de croissance de plus de 10 % par an.

Site de l’ARPP (ex BVP) https://www.arpp.org/

Pour MédiaChartres, ce sont des informations, qui assombrissent l’avenir du Monde médiatique et de l’information en général.

La Rédaction




LES FOUILLES . . .

La Ville de Chartres n’hésite pas, à mettre en avant ses fabuleux sites archéologiques et même, à en faire des lieux « d’attractions pour touristes », mais uniquement, là ou ça l’arrange et pas ailleurs.

MédiaChartres, vous révèle un exemple récent et concret:

L’immense chantier de construction engagé par la Ville en complicité avec deux autres comparses (promoteurs), entre la Porte Morard et la Porte Guillaume (ex-site EDF), le « Jackpot » pour ces aficionados du placement « sans risques et très rentable à cours terme » (mais, cela reste à voir) !

Logiquement, des fouilles archéologique sérieuses, doivent êtres faites, or … sur toute la superficie, seul le petit parking de la Porte Guillaume à été fouillé, et façon « Speedy Gonzales » sur une semaine seulement ? Ce qui ne reflète en rien, les possibles secrets et trésors du passer cachés dans les strates du sol.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Strate_(g%C3%A9ologie)

 

Les outils de fouilles, sont également « particuliers« , d’habitude plutôt du style pinceaux et grattoirs, la Ville utilise du lourd , très curieux car d’ordinaire ce secteur est extrêmement réglementé et surveillé ?

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

https://www.legifrance.gouv.fr/loda/id/JORFTEXT000000784249/

La Ville faisant elle même, ses propres recommandations, sur son site:

https://archeologie.chartres.fr/vos-projets-nos-conseils/conseils-aux-amenageurs

 Les Chartrains ne pensent t’ils pas êtres, les de la mauvaise farce ?

                                 MédiaChartres espère que non.

Martine Leroy

 

 




RAGONDINS « IS BACK » !

MédiaChartres vous révèle, que contrairement à beaucoup de personnes (…) les ragondins EUX, sont à « l’Eure » !

 

 

 

 

 

 

 

Pour preuve (une de plus), l’une de nos équipes de photographes, a constater la présence de nombreux « Myocastoridés » (Myocastor coypus).

Originaire au XIXème siècle d’Amérique du Sud, ce gros rat pèse en moyenne entre 6 et 10 Kgs pour une taille de plus de 50 cm et une queue de 30 cm (+/-) https://fr.wikipedia.org/wiki/Ragondin

Son milieu de prédilection recouvre les bords humide, vivant qu’une dizaine d’années, il se reproduit extrêmement rapidement, le femelle peut avoir 3 portées par an de chacune 7 petits.

Il creuse de longs terriers qui entraine l’érosion des berges et déstabilise l’écosystème aquatique par (entre autre) la destruction des nids d’oiseaux et des volatiles aquatiques type: (poule d’eau)

Il s’introduit dans les caves (sol en terre), monte par les conduits divers et s’installe durablement, dans les doubles parois et faux plafonds.

Mais, le plus grave pour cet animal, est qu’il peut être vecteur de maladies graves, comme la leptospirose ou la douve du foie.

Il n’a pas de prédateurs naturels, il figure sur la liste publiée par la commission Européenne des « espèces envahissantes » et est inscrit comme animal « nuisible« .

Une information MédiaChartres, déjà transmise auprès des services municipaux de la Ville, comme les autres années.

Sans réactions, les résidents devront t’ils prendre eux même des mesures, faute d’actions des responsables ?, à suivre !

Clara Hirch




LA RECONNAISSANCE !

 Votre journal, MédiaChartres, étend ses ailes et conforte sa reconnaissance et sa popularité.

Cactus

 

Le blogue écologistes « Cactus« , cite MédiaChartres dans un article récent (merci à eux).

https://www.cactus.press/2021/08/30/mediachartres-pour-enerver-le-systeme-gorgien/#comment-9843

 

MédiaChartres, va très bientôt être à l’antenne d’une RLP  (radio locale privé),                  

pour une possible « chronique hebdomadaire », sur les thèmes du journal.

MédiaChartres, propose à la Municipalité de Chartres, un « face à face télévisé« avec les Élus (es): Métropole/Mairie/Département/Députés/Sénateurs, dans le studio de la Ville, un défi . . . . ALORS, CHICHE  ?

Martine Leroy                                                                                                      

 




DANS L’OMBRE,

Il est généralement normal (et obligatoire) pour une Municipalité de répondre            

favorablement à une demande de pièce administrative.

Lorsqu’il y a un refus ou une non réponse (considéré comme un refus) dans un délai de 30 jours

toute personne est dès lors légalement fondée, à saisir dans les 2 mois la CADA  ,organisme

qui interviendra pour que les pièces et documents soit bien adressés au pétitionnaire:

https://www.cada.fr/contacter-la-cada

Chacun peut également, saisir le tribunal administratif:

http://orleans.tribunal-administratif.fr/Demarches-procedures/Introduire-une-requete-devant-le-tribunal-administratif

MédiaChartres, s’étonne du refus, des silences et de rétentions d’informations  de la Mairie de Chartres,

sur certaines demandes, des personnes auraient telles intérêt à dissimuler des « choses », et pourquoi ?

MédiaChartres, s’emploie à faire la lumière sur ces  mystérieux sujets.

Claude Harffi