MédiaChartres soutien, plus que jamais, le monde médical.
MédiaChartres, ouvre une parenthèse sur l’état général des habitations de Chartres et des alentours.
Nombreux sont les chantiers « promotions immobilières » en cours où en projets, malgré le contexte déficient, qui touche de plein fouet le secteur.
Les raisons sont multiples : pouvoir d’achat en berne, crainte du lendemain, taux d’intérêt des prêts, incertitude du marché du travail, crise politique, menaces géopolitiques, peur de l’avenir, suppression des aides à la rénovation, etc. La liste est de plus en plus longue et non-exhaustive.
Un climat anxiogène (peut-être voulu et créé pour mieux contrôler les populations ?) « simple extrapolation ».
La nature accentue le phénomène par le dérèglement climatique, qui à des répercutions, souvent dramatiques sur notre quotidien.
À l’exemple des habitations, qui subissent les affres des variations phénoménales de températures (quatre saisons en une semaine).
Les pouvoirs publics évitent de trop médiatiser le sujet, hausses vertigineuses des tarifs des compagnies d’assurance, elles refusent pour certaines, d’assurer les risques de « catastrophes naturelles« , ce qui à décidé un maire d’une petite commune de France, de prendre un arrêté « d’interdiction de catastrophe naturelle » !
Les arrêtés de mise périls ne se comptent plus, et les budgets comme les artisans, sont dans l’impasse.
Voyez plutôt : https://www.facebook.com/HaroldHuwart/videos/1333321617653086/
Le monde va à vau-l’eau et l’attention des personnes ne retient (au mieux), que la « vérité des médias« .
Un monde étrange qui continue de tourner […], mais avec deux questions existentielles, comment et jusqu’à quand ?
2025 début du changement de la vie de millions de personnes, l’intelligence artificielle va faire sa grande rentrée et imposée Ses nouvelles règles et surtout, changer les modes de vies sûr la planète, être gouverné par des mégas data centers gigantesques.
MédiaChartres, reste nostalgique de ce monde qui va disparaître au « profit-S » de celui de demain.
Sylvie Muller