
MédiaChartres soutien, plus que jamais, le monde médical.
Pour mieux appréhender la suite, MédiaChartres vous invite à écouter ce bref sketch, de l’humoriste Raymond Devos.
Ce sketch illustre parfaitement, la situation des automobilistes, se dirigeant vers la basse ville, par la rue Saint Pierres.
Les innombrables travaux en cours, ont créé un véritable labyrinthe, ce qui a le don de très sérieusement agacer les utilisateurs, qui pestent contre les coupables […] !
Pour beaucoup de maître d’œuvre-, l’apposition du droit précaire d’autorisation à utiliser l’espace Public et d’informer sur la nature du chantier, doit obligatoirement êtres affiché et visible de tous, ce qui n’est généralement, plus le cas (CQFD). À noter, que les contrôles sont quasiment inexistants !
*L’intérêt général peut, en toutes hypothèses, justifier de mettre un terme à une occupation privative. Le domaine public étant affecté à l’utilité publique, cette destination fondamentale ne peut en effet être mise en cause par la pérennité d’un intérêt particulier.
La réglementation : https://www.service-public.gouv.fr/particuliers/vosdroits/F1988
et aussi : https://www.peccavy-avocat.fr/lautorisation-doccupation-du-domaine-public-enjeux-et-procedures/
De quoi y perdre son latin et… quelques points, sur son permis de conduire.
Les artisans et sous-traitants ne prennent plus la peine de faire une demande en mairie, mais rédige eux-mêmes les « arrêtés« , qu’ils placardent sur les portes, où des panneaux « faits maison« , et s’arrogent le droit de bloquer les rues, pour leurs besoins !
Bienvenue dans l’…
MédiaChartres constate, que des rues sont mises en double sens, générant souvent de belles frayeurs et parfois, quelques « noms d’oiseaux »… surtout, aux horaires des scolaires.
Le Pont Tailard, étant également barré depuis plusieurs mois, ne simplifie pas le trafic !
De plus, il semblerait que la « notice » de la pose des bornes de coins de rues, ne soit plus fournie ?
Pour preuve :
Les usagers et les riverains sont excédés, et cela peut se comprendre, ils se demandent comment les « responsable » (?) de ce grand bazar, font pour êtres à ces nivaux, et pensent qu’il doit forcément exister, des hautes écoles de l’incompétence, cela ne peut s’expliquer autrement !
La mairie de Chartres s’illustre une fois de plus, (les habitants sont « habitués »), elle ne se formalise pas de la situation. Au pire, cela sera un nouveau recours administratif, l’obligeant à solliciter, le « coup de fil, à son réseau d’amis« , et à faire (encore) voter des indemnités fonctionnelles judiciaires, dont elle est coutumière.
Karine Relin