MédiaChartres soutien, plus que jamais, le monde médical.
Le très fermé « Club des Élus-es » de Chartres Ville et Agglomération, ne rate jamais une occasion de se mettre en avant.
Pour MédiaChartres, il serait pourtant souhaitable, dans de nombreux cas, de se faire plutôt discret !
F. M. le comptable (et magicien) de : la ville/agglo et quelques autres sociétés annexes, s’acharne sans relâche, à tenter de convaincre les administrés, qu’il détient le secret de la pierre philosophale et que le trésor des Templiers était caché à Chartres (?)
Il nous affirme être en famille avec Madame Soleil, lire dans sa boule de cristal et le marc de café, afin de rassurer la population (…) les beaux graphiques sont omniprésents dans chacune de ses interventions (magazines où réunions), à la recherche de la courbe parfaite.
Nous apprenons (avec bonne humeur et grand sourire 😊), que les « fantasmes » (inter-minables chantiers, sujets de nombreux tollés) des Élus, ont endetté les résidents pour + de dix longues années, et qu’ayant atteint le plafond maximal d’endettement auprès des banques Françaises, il fallait désormais se tourner vers l’étranger (comme l’Indonésie) en visite à Chartres le 7 juin dernier et reçu comme des chefs d’états, par Monsieur F. Masselus… Imself. 
La communication propagandiste oblige forcément les justifications de tout ordre. Exemple : Le chemin parcouru entre 2001 et… tiens, bizarrement le discours s’arrête à 2020 ? (sources publiques, magazine « votre ville » N° # 243 de juillet/aout 2024, page 40). L’allusion au « merveilleux cadre de vie » est également évoqué, oui, mais pour qui exactement ? (photos ci-dessous).
À lire ICI : https://www.chartres.fr/magazine-votre-ville/
Il serait même (…) de la responsabilité, de la baisse des subventions de l’État, si : le dallage des rues du centre-ville de Chartres n’a pas encore été remplacé (contrairement aux abords de la Cathédrale ?), si le jardin de l’Évêché reste désespérément impraticable et ne retrouve toujours pas, son lustre d’antan ?
Et, si certaines associations ont perdu en partie ou totalement leurs subventions, si les vestiaires de l’odyssée (piscine) sont dans un état déplorable, si les plaques des Noms des ponts en basse ville sont illisibles ou cassés, comme certains monuments, l’état de dégradation des bancs publics, les bords de l’Eure laissés en jachères, etc (la liste est très longue, et surtout… les priorités différentes de l’attente des habitants).
La raison de ce grand laisser-aller « serait« , des budgets lavés à l’eau bouillante 90° ? Pourtant, il est de notoriété publique, que régulièrement les cartes bleues des Élus et de certains directeurs, sont utilisées, et pas forcément à bons escients et pour l’intérêt collectif : restaurants, cadeaux, véhicules, carburant, déplacements privés (billets), et même, séjours amoureux (illégitimes) pour d’autres (aux quatre coins de la France), débouchant sur des « promotions canapés et augmentations substantiels de salaire » ! Il n’appartient absolument pas aux contribuables, de payer ces « frasques » et « gros écarts de conduite« du pseudo-gotha local, censé montrer l’exemple et êtres irréprochable face aux citoyens.
Que dit la loi : https://fr.wikipedia.org/wiki/Abus_de_biens_sociaux
et aussi : https://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9tournement_de_fonds_publics
: https://www.legifrance.gouv.fr/codes/article_lc/LEGIARTI000039113360/2019-09-20/
MédiaChartres a réussi à se procurer des témoignages et des factures (certaines étant fausses), et il va surement être difficile de les justifier, devant qui de droit. De somptuaires et expansives dépenses, hors cadre légal (…)
N’étant pas la première fois, et certainement pas la dernière, les montants sont aujourd’hui plus importants et porte sur des achats beaucoup plus conséquents… (nous y reviendrons prochainement).
https://www.agence-francaise-anticorruption.gouv.fr/fr
Petit rappel : (pour mémoire)
https://mediachartres.fr/2021/04/28/un-achat-pour-la-collectivite-vraiment-2/
Pour MédiaChartres, voici bien, tout le « charme » des petites villes de Province, pour passer un bon séjour, non ?
Martine Leroy